“…Toutefois, l′extension des lésions peut néanmoins rendre le geste délabrant, c'est le cas des patientes N°1 et 2. Ainsi, le curage ne peut être justifié que si l'examen définitif révélait la présence d'une zone invasive vraie [ 3 , 5 ], puisqu'il expose aurisque de complications telles que lymphocèle (40%), infection de cicatrice (39%), lymphoedème (28%) et désunion de suture (17%) [ 8 ]. Par ailleurs, la radiothérapie n′apporte aucun bénéfice en survie.…”