Initial Neuropsychological Profile of a Series of 20 Patients with Logopenic Variant of Primary Progressive Aphasia

Abstract

Our study identifies that de novo or recently worsening anxiety and specific neuropsychological profiles call for screening for LPPA, including a linguistic examination. Sometimes, there may be a continuum between LPPA and corticobasal syndrome.

Left Prefrontal Repetitive Transcranial Magnetic Stimulation in a Logopenic Variant of Primary Progressive Aphasia: A Case Report

“…As the raw MMSE score (25/30) suggested a mild AD stage, the preserved activities in dai- ly living suggested only a prodromal stage of atypical AD. Initial MMSE performance was underestimated by the language and short-term memory component highly involved in this test (verbal encoding impairment was 1/3, mental calculation difficulties 4/5 and language disorders 6/8) [27] . In addition, our patient also had a high level of education and was bilingual.…”

Particularités du variant logopénique au sein des aphasies progressives primaires

“…Les patients interrogé s dé crivent é galement des difficulté s à suivre une conversation et la né cessité d'effectuer de nombreuses relectures pour encoder l'information. Ces difficulté s reflè tent de plus probablement l'atteinte de la mé moire à court terme verbale [34].…”

“…Le caractè re logopé nique ne s'accompagne pas obligatoirement d'une baisse de la fluence en discours spontané , qui est classiquement rapporté e dans les é tudes princeps [34]. Le dé bit de parole est intermé diaire, supé rieur à l'APP non fluente agrammatique et infé rieur à l'APP sé mantique.…”

“…Ce paramè tre est donc peu discriminant [36] et pré sente une grande variabilité inter-individuelle [38]. Paradoxalement, une logorrhé e anxieuse est fré quemment rapporté e et peut, de ce fait, parfois masquer le manque du mot [3,34].…”

“…Par ailleurs, les tâ ches de dé nomination orale à partir d'images ne sont pas toujours sensibles au manque du mot. Des tâ ches auto-gé né ré es comme le discours spontané , la demande de dé finition et les tâ ches de gé né ration de mots (fluences verbales) semblent plus pertinentes pour dé masquer ce trouble chez les APP logopé niques [34]. Cette dissociation peut ê tre expliqué e par une plus grande sollicitation de la mé moire de travail verbale (et donc de la boucle phonologique) au court des tâ ches auto-gé né ré es entraînant ainsi une saturation des ressources phonologiques.…”