Incidence and 12-Month Outcome of Non-Transient Childhood Conversion Disorder in the Uk and Ireland

Abstract

Childhood conversion disorder represents an infrequent but significant clinical burden in the UK and Ireland.

Estado actual de los trastornos somatomorfos y conversivos en niños y adolescentes

“…Igualmente, en un aná-lisis tunecino, los síntomas conversivos estuvieron presentes fundamentalmente en niñas, en infantes con padres menos educados y en pobladores de sectores rurales 48 , hecho reafirmado por un estudio taiwanés que sostiene que los TC predominan en mujeres y en quienes han sufrido de abuso sexual, sin embargo, habrían aumentado su indicencia en niños probablemente por incrementarse las tasas de abuso 49 . Pese a que la mayoría de los trabajos notifican una mejoría clínica para los TS a los 12 meses de tratamiento 50 , la cronificación tendría relación con parámetros como sexo femenino, depresión concomitante, trastornos mentales parentales y eventos vitales negativos 51 . Las CPNE representan entre 3% y 9% de los niños en estudio con monitoreo de vídeo-electroencefalograma prolongado, siendo más prevalentes entre epilépticos -20% a 30% de presentación intercurrente-, sobre todo en epilepsia temporal 52 , e inclusive más en población adulta, grupo que muestra más comorbilidades psiquiátricas y peor pronóstico 53 .…”

Devenir des troubles de conversion chez les enfants et adolescents

“…Les études sélectionnées concernent des échantillons allant de 13 à 204 patients [39,41]. Les sujets inclus sont âgés de 6 à 18 ans au moment de l'inclusion, avec une moyenne d'âge de 12,2 ans, toutes équipes confondues.…”

“…La durée du suivi variait de 1 à 6 ans selon les études [37,41]. Le détail des taux de guérison est présenté dans le Tableau 3.…”

“…Les équipes de Goodyer et de Kotsopoulos avaient exclus de façon systématique les patients diagnostiqués par erreur trouble de conversion [31,32]. Bien que les prises en charge des troubles de conversion ne soient pas étudiées ici, l'équipe d'Ani et al ainsi que celle de Willie et al soulignent l'importance de l'acceptation par la famille et par le patient d'une étiologie psychologique dans la genèse de ce trouble dans l'adhésion aux soins [35,41].…”

“…Parmi les études sélectionnées, neuf ont évalué les comorbidités psychiatriques associées au trouble de conversion [31,32,[34][35][36][37][38]40,41]. Elles touchaient entre 13 et 84 % des enfants et adolescents [34,39].…”