“…Voilà qu'un jeune ramasse un gros tas de feuilles et le lance sur son voisin… En rentrant, l'enseignant demande aux enfants de dessiner leur sortie : tout est permis. Une telle approche auto-écoformatrice favorise grandement la reconnexion du jeune, comme de l'enseignant, à la Nature-territoire et le renforcement d'une identité écologique au fondement d'un attachement et d'une agentivité écocitoyenne (Jeziorski et Therriault, 2019). Plus encore, si cette approche contribue au bien-être, elle procure également un sentiment positif d'espoir à l'égard du vivant (Barrera-Hernańdez et coll., 2020), à contre-courant de la vague d'écoanxiété qui saisit jeunes et adultes en contexte de crise écologique.…”