2005
DOI: 10.7202/705333ar
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Identification de composés génotoxiques dans les eaux de boisson

Abstract: Depuis la mise en évidence de trihalométhanes dans les eaux potables en 1974, de multiples travaux ont démontré la présence de nombreux composés génotoxiques dans l'eau de boisson. L'eau potable obtenue à partir d'eau de surface subit un traitement incluant généralement une étape de chloration. Il est aujourd'hui largement admis que l'activité génotoxique des eaux de boisson provient principalement de la chloration des substances humiques, composés organiques naturels contenu… Show more

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
1

Citation Types

0
0
0
1

Year Published

2010
2010
2018
2018

Publication Types

Select...
3
1

Relationship

0
4

Authors

Journals

citations
Cited by 4 publications
(1 citation statement)
references
References 46 publications
(13 reference statements)
0
0
0
1
Order By: Relevance
“…Mais, dans le cas de certains oueds 1 , où se font des rejets tant urbains qu'industriels, ces substances naturelles ne représentent qu'au maximum 20 à 30% du COT, indiquant une pollution exogène plus complexe. Ces charges organiques croissantes conduiront à augmenter de plus en plus les doses de chlore nécessaires à la désinfection, ce qui mènera, à plus ou moins long terme, à de grands problèmes de toxicité chronique (tels qu'à des effets mutagènes et/ou cancérigènes), dus à la présence de composés organohalogénés (TOX) générés lors du traitement par chloration (Le Curieux et al, 1998 ;Rook, 1974 ;Santé Canada, 2006). …”
Section: Introductionunclassified
“…Mais, dans le cas de certains oueds 1 , où se font des rejets tant urbains qu'industriels, ces substances naturelles ne représentent qu'au maximum 20 à 30% du COT, indiquant une pollution exogène plus complexe. Ces charges organiques croissantes conduiront à augmenter de plus en plus les doses de chlore nécessaires à la désinfection, ce qui mènera, à plus ou moins long terme, à de grands problèmes de toxicité chronique (tels qu'à des effets mutagènes et/ou cancérigènes), dus à la présence de composés organohalogénés (TOX) générés lors du traitement par chloration (Le Curieux et al, 1998 ;Rook, 1974 ;Santé Canada, 2006). …”
Section: Introductionunclassified