Histoire d’une stigmatisation paradoxale, entre islam, colonisation et « auto-étiquetage ». Les Baay Faal du Sénégal

Transnational Biographies

“…The negative image is probably always co-present with the positive image, since it is a component of the discourse and the blame gossip in respect of the Baye Fall, both in Senegal and in the diaspora, where many Murids convert to the Baye Fall in order to gain more freedom. The negative image says that the bad Baye Fall smoke cannabis and drink alcohol, and -a component that Bassam perhaps didn't want to mention -have sex with non-Muslim women (see Massó Guijarro 2013, 2016aPezeril 2008). Charlotte Pezeril shows that the Baye Fall were stigmatized right from the time of Ibrahim Fall, both by the French colonial authorities and by religious leaders, and points out that this negative they-image and stigmatization of the Baye Fall still exist in Senegal, even if to a lesser extent (Pezeril 2008: 792).…”

“…: 215). Not unimportant here is the stigmatizing they-image that they are 'crazy' or bad Muslims, which was applied to them from the beginning by people outside the brotherhood, and in the first place by the French in the colonial period (see Pezeril 2008). Despite this blame gossip, the Baye Fall are increasingly gaining prestige and becoming more autonomous from the brotherhood of the Murids, especially in the Senegalese diaspora.…”

Application de l’approche inductive dans l’étude du code architectural agni ndénié (Côte d’Ivoire)

“…Néanmoins, cette diversité morphologique connaît d'énormes bouleversements sous l'influence de plusieurs facteurs dont les plus persistants sont l'intervention du colonisateur (Atta, 1978) et la détermination des autorités administratives de faire respecter et appliquer les plans d'urbanisme et de lotissement (Bernus, 1964;Schwartz, 1966) Toutefois, la partialité et la particularité des propriétés structurales des instruments de recherche (Tremblay, 1968) dans la lecture de la réalité sociale et le recours récurrent à l'entretien à usage complémentaire (postérieure, parallèle, corrélative…), au questionnaire, à l'observation ou à la recherche documentaire (Blanchet & Gotman, 1992) Pour une approche plus complète et intégrale de l'explication et de la compréhension du fait social, Mauss (1926), Tremblay (1968), Mead (1979), Colleyn (1988), Chenal (2006), La Rocca (2007, Laplantine (2007), et Pezerile (2008) proposent l'utilisation de la photographie. Celle-ci est perçue comme une technique complémentaire importante dans les études de terrain (Tremblay, 1968) puisqu'« en plus de fournir une image arrêtée de la situation et d'en donner une reconstitution authentique, elle sert à recueillir des informations » (Tremblay, 1968, p. 257).…”

“…Celle-ci est perçue comme une technique complémentaire importante dans les études de terrain (Tremblay, 1968) puisqu'« en plus de fournir une image arrêtée de la situation et d'en donner une reconstitution authentique, elle sert à recueillir des informations » (Tremblay, 1968, p. 257). En effet, ses fonctions illustratives, démonstratives, d'archivage, descriptives, d'ouverture au débat (Laplantine, 2007;Pezerile, 2008) …”