Iles baignées de lumière, voile diaphane de petite pluie line qui conviait Γ immortelle nudité de la Grèce Heureux, pensais-je. l'homme à qui il a été donné, a\ant de mouiir, de navigue» dans la mei égéenne. Nombreuses sont les joies de ι e mondeles femmes, les fruits, les idées Mais fendre cette mer-là, par un tendu• automne, en muimuiant le nom de iliaque île. je crois qu'il n'est pas de joie qui. davantage, plonge le ca'ur de l'homme dans le Paradis Nulle part ailleurs ont ne pense aussi sereinemeiit ni plus aisément de la téalité au rêve Les frontières s'amenuisent et des mâts du plus vétusté des bateaux s'élancent rameaux et giappes On dirait qu'ici, en Gtèce, le mintele est la jleur inévitable de la nécessité NlKOS Κ-Α/λΝ ΙΖΛΚ1