“…Même si aucune anomalie évidente n'est visualisée, c'est le cas notamment dans les atonies utérines, l'embolisation des deux artères utérines est réalisée [29]. Parfois l'artériographie retrouve un spasme artériel diffus ou bien la conformation anatomique des artères est telle qu'elle rend impossible le cathétérisme sélectif, auquel cas l'embolisation porte sur le tronc antérieur des artères iliaques internes mais sans doute avec un taux de succès moindre [37]. En fin de procédure une aortographie globale est utile pour apprécier l'efficacité de l'embolisation, rechercher une cause moins habituelle de saignement en particulier au niveau des artères ovariennes, vaginales ou honteuses internes [15,29,38,39].…”