“…L'opposition entre vérité (vérifiabilité) des données « scientifiques » et non vérifiabilité (erreur, fiction) des récits a été critiquée et dépassée (Phillips, 1995), non seulement parce que les « données » sont des construits au même titre que les récits (Brkich et Barko, 2013 ;Whiteman et Phillips, 2008), mais aussi en ce sens que les genres fictionnels ou semi-fictionnels nous mettent en présence de réalité. Une réalité alternative certes, démarquée des contraintes et des présupposés de la réalité ordinaire, mais bien fondée sur cette dernière.…”