Family, Friends and Neighbors: The Role of Primary Groups in Preventing the Misuse of Drugs

Abstract

Primary groups such as relatives, neighbors and friends are a source of support that health care providers overlook. We present a theoretical framework which suggests primary groups can help prevent the misuse of prescription medicine. Kin are especially helpful in assisting elderly to take medications on a long-term basis where the regimens are fairly simple. It may also be especially important to engage kin in helping the older minority woman to understand the doctor. Even at a distance, kin may be able to provide such assistance and should not be discounted as a resource. Neighbors can be helpful in getting a medicine needed unexpectedly and might assist with relatively complex routines that last for only a brief period. Friends who have had similar experiences are especially helpful when the medicine is prescribed on an as needed basis by teaching the client how to judge when a dose is needed.

Informal Social Support Networks and Subjective Well-Being among African Americans

“…Due to their physical proximity, neighbors can assist with tasks requiring knowledge of the spatial area or speed of assistance (Cantor, 1979). In particular, neighbors are uniquely suited to provide help during crisis situations such as emergency first aid or baby-sitting (Kail & Litwak, 1989;Messeri, Silverstein, & Litwak, 1993). Given the important role of neighbors in the informal networks of Black Americans, frequent contact with neighbors may enhance SWB by virtue of its social integrative functions and greater opportunities for providing support.…”

Effecting Community Efforts in Drug Abuse Control: A Study of Delta State Nigeria

“…Emotional appeals should be avoided, no cover-up for the drug users or take over their responsibilities. Attempt should not be made to hide or throw out drugs, argue with the people when they are high or take drugs with the drug user (Inciardi, Daune, Brain and Karen, 1978;Kail, 1989).…”

L’écologie familiale et la consommation de médicaments chez les personnes âgées : commentaires sur un facteur important ignoré dans les recherches et les projets de prévention

“…Même s'il existe peu de données empiriques sur ce sujet, plusieurs auteurs (Brubaker, 1990;Cicirelli, 1990;Kail et Litwak, 1989;Rathbone-McCuan et Ashimi,1982) indiquent qu'un changement important se produit dans les dynamiques familiales lorsqu'un membre âgé de la famille commence à avoir des problèmes de santé graves et nécessite plus de soins. Cicirelli (1990) fait remarquer que les membres de la famille sont souvent les premiers à entendre les plaintes et autres indications des symptômes de maladies et ont un rôle privilégié pour identifier les besoins en matière de santé du malade âgé.…”

“…Cependant, Rathbone-McCuan et Ashimi (1982) indiquent que les aînés discutent rarement de leurs problèmes de santé avec les autres membres de la famille, par peur d'une perte d'estime de soi ou d'autonomie, particuliè-rement lorsqu'il s'agit de parler de leurs problèmes avec leurs enfants adultes. Dans une discussion sur le rôle potentiel des membres de la famille dans la prévention de l'abus de médicaments, Kail et Litwak (1989) suggèrent que la famille, les amis et les voisins peuvent aider un aîné de quatre manières dans l'observance de la prise de médicaments : 1) en s'assurant que la personne âgée a bien compris les directives du médecin; 2) en s'assurant qu'elle a vraiment acheté les médicaments prescrits ; 3) en l'encourageant à prendre ses médicaments et 4) en l'aidant à transiger avec les effets secondaires et à accepter de vivre avec certains effets secondaires inévitables. Ces auteurs suggèrent que ceux qui vivent avec l'aîné ou qui ont un contact régulier avec lui (par exemple, un conjoint) sont plus à même d'assurer une bonne utilisation des médicaments que les membres de la famille ou les amis qui n'ont pas un contact fréquent avec la personne.…”

“…Ces auteurs suggèrent que ceux qui vivent avec l'aîné ou qui ont un contact régulier avec lui (par exemple, un conjoint) sont plus à même d'assurer une bonne utilisation des médicaments que les membres de la famille ou les amis qui n'ont pas un contact fréquent avec la personne. Cependant, Kail et Litwak (1989) soulignent aussi le fait que les époux peuvent ne pas s'aider mutuellement dans la prise de médicaments si l'un des conjoints a les mêmes problèmes et handicaps que l'autre.…”