“…Ainsi, la douleur s'exprimera plus volontiers sous la forme de comportements d'automutilations, de pleurs, de cris ou d'augmentations des auto-stimulations. Pour ce qui est du déficit sociocommunicatif spécifique aux autistes (patients non verbaux ou trouble de la pragmatique du langage), Nader et al [8], ainsi que Gilbert-MacLeod et al [5], font l'hypothèse d'absence de possibilité de référentiation sociale et de possibilité de communication adaptée (par difficulté de régulation de l'expression d'émotions négatives) pour expliquer les atypicités d'expression de la douleur.…”