2010
DOI: 10.1016/j.jgyn.2009.09.013
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Évaluation d’une politique restrictive d’épisiotomie avant et après les recommandations du Collège national des gynécologues obstétriciens français

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“…Ce travail avait permis de constater un net recul du recours à l'épisiotomie (54,2 % vs 22,7 %) sans induire pour autant de morbidité maternofoetale évidente. Une étude similaire à la nôtre, réalisée par l'équipe obstétricale de Besançon retrouvait une diminution du taux global d'épisiotomies, celui-ci passant de 18,8 à 3,4 %, sans augmentation du taux de lésions périnéales des troisième et quatrième degré [3]. Bien qu'il s'agisse d'une étude de faible puissance menée sur une courte période et sur de faibles effectifs, ce chiffre laisse à penser que l'on pourrait encore réduire notre taux sans induire de morbidité supplémentaire.…”
Section: Discussionunclassified
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“…Ce travail avait permis de constater un net recul du recours à l'épisiotomie (54,2 % vs 22,7 %) sans induire pour autant de morbidité maternofoetale évidente. Une étude similaire à la nôtre, réalisée par l'équipe obstétricale de Besançon retrouvait une diminution du taux global d'épisiotomies, celui-ci passant de 18,8 à 3,4 %, sans augmentation du taux de lésions périnéales des troisième et quatrième degré [3]. Bien qu'il s'agisse d'une étude de faible puissance menée sur une courte période et sur de faibles effectifs, ce chiffre laisse à penser que l'on pourrait encore réduire notre taux sans induire de morbidité supplémentaire.…”
Section: Discussionunclassified
“…Dans une revue de littérature récente, analysant 12 études de cohortes, les prévalences de déchi-rures périnéales du troisième et quatrième degré variaient de 4 à 33 % en cas de forceps et de 2 à 28 % en cas de ventouse pour des OR respectivement de 1,5 à 27 et de 2 à 28 par rapport à la voie basse spontanée [20]. Dans l'étude bisontine, le taux d'épisiotomies est particulièrement bas, même en cas d'EI (9,6 % d'épisiotomies en 2007 pour les EI, tous types confondus et 10 % pour les extractions par ventouse), sans augmentation du taux de déchirures périnéales sévères (8‰ pour les déchirures du troisième degré et 4‰ pour les déchirures du quatrième degré) [3]. Au terme de notre étude, même si les actions mises en place en vue de diminuer la pratique de l'épisiotomie commencent à aboutir, nos efforts doivent être poursuivis.…”
Section: Patientes Et Méthodesunclassified
“…17,18 They found that the recommendations of the CNGOF to restrict the use of episiotomy led to a dramatic decrease in the episiotomy rate (in the first study from 19% to 3% between 2003 and 2007 (17) and in the second study from 56% to 13% between 2004 and 2009 18 without any significant increase in severe vaginal tears (third and fourth degree) or sequelae (p<0.01).…”
mentioning
confidence: 97%
“…Another factor is how much con dence and trust is placed in governing bodies and national guidelines (42). Dramatic decreases in the episiotomy rate in France were attributed to the College of Obstetricians and Gynecologists (CNGOF) because its clinical practice guidelines clearly advocated for a policy of restrictive episiotomy (57,58). In contrast, the wording of the 2016 'O cial Norm' for Mexico remains purposefully vague and supports the provider to use their clinical judgement (22).…”
Section: Discussionmentioning
confidence: 99%