Entre l’Adour et la Baïse (partie occidentale du département du Gers, France) : une importante source de matières premières siliceuses du Sénonien

Les Pyrénées au cours du Dernier Maximum Glaciaire. Un no man’s land badegoulien ? Nouvelles données sur l’occupation du piémont pyrénéen à partir du réexamen des industries solutréennes de l’abri des Harpons (Lespugue, Haute-Garonne)

“…dont les sources connues les plus proches se situent entre la Chalosse et le Gers (voir par ex. Bon et al, 1996 ;Chalard et al, 2010 ;Colonge et al, 2011 ;Séronie-Vivien et al, 2012). Caractéristique du site éponyme, une pointe de Montaut ( fig.…”

“…9a, n os 6 et 7) dont les sources potentielles connues se répartissent en l'état actuel des données entre l'Armagnac (par ex. Colonge et al, 2011 ;Séronie-Vivien et al, 2012) et la Chalosse (par ex. Bon et al, 1996), soit entre 80 et 120 km au nordouest des Harpons.…”

The origin of chert in the Aurignacian of Vogelherd Cave investigated by infrared spectroscopy

“…The identification of siliceous raw materials in southern Germany has so far almost exclusively been conducted through macroscopic inspection. Such macroscopic analyses are based on comparisons between samples using low magnification lenses or stereomicroscopes [22]. Features like colour, lustre and translucency are commonly used for identifying chert materials [4,10,[22][23][24][25][26][27][28].…”

“…Such macroscopic analyses are based on comparisons between samples using low magnification lenses or stereomicroscopes [22]. Features like colour, lustre and translucency are commonly used for identifying chert materials [4,10,[22][23][24][25][26][27][28]. However, macroscopic analyses are not always reproducible and may be prone to observer bias.…”

Exploitation des matières premières lithiques locales et allochtones au Paléolithique moyen récent sur le versant nord-occidental des Pyrénées : le cas des grottes du Noisetier (Fréchet-Aure, Hautes-Pyrénées) et de Gatzarria (Ossas-Suhare, Pyrénées-Atlantiques)

“…Les gîtes à silex connus dans l'aire étudiée sont nombreux et variés. Ces ressources sont documentées par une somme importante de recherches, systématisées dans la région depuis les années 1980 (Simonnet 1981et 1999, Normand 1986, Lacombe 1998, Barragué et al 2001, Bon et al 2002, Tarriño 2006, Séronie-Vivien M. et al 2006, Séronie-Vivien M.-R. et al 2012, Chalard et al 2010, Fernandes et al 2013, Foucher 2015, Tarriño et al 2015, Sánchez de la Torre et Mangado Llach 2016. Les secteurs plus particulièrement exploités et investis au Pléistocène correspondent aux séries silicifiées des flyschs, en particulier celles des formations des calcaires de Bidache.…”