“…D'ailleurs, dans une étude menée par Bernier et al (2013), 84,3 % d'entre eux estimaient qu'obtenir des services en français est important, voire essentiel, et que 64 % des immigrants manitobains se disaient prêts à voyager pour obtenir des services en français et même à se rendre dans une ville voisine (Bernier et al, 2013 ;de Moissac et al, 2011de Moissac et al, , 2015. Bref, les patients immigrants et les nouveaux arrivants qui font partie des CLOSM disent parfois rencontrer des barrières linguistiques importantes qui nuisent à leur intégration et à leur accès aux soins de santé (Hien et Lafontant, 2013 ;Mulatris et Bahi, 2014).…”