“…Le deuxième mécanisme repose sur l'observation que les cellules musculaires expriment des TLR (toll-like receptors) capables de reconnaître plusieurs variétés d'antigènes associés aux pathogènes [6,7]. Une fois agressées par les pathogènes, les cellules musculaires peuvent répondre et libérer des facteurs pro-inflammatoires et chimiotactiques tels que TNF-, IL-1 et IL-6 [6,7]. Ces facteurs pro-inflammatoires libérés activent les mastocytes résidents qui libéreront ensuite une panoplie de molécules immunorégulatrices telles que les interleukines (IL-3, 4, 5, 6, 9, 13),…”