Emergency nurses’ attitudes towards the concept of witnessed resuscitation

Abstract

Objective:to review the most relevant evidence on the nurses’ attitudes towards witnessed resuscitation, in the inpatient and out-of-hospital spheres. Method:integrative literature review, covering the period from 2008 till 2015, using the databases PubMed, Lilacs and SciELO; in Spanish, English and Portuguese. The pediatric context was excluded from the study. Results:the synthesis of the data resulted in the inclusion of 10 articles, categorized as: positive attitudes and negative attitudes. Conclusions:discrepancies exist among the nurses from different contexts and geographical regions towards the concept; protocols need to be established for this situation, in view of the advantages evidenced in the literature, for the nursing professionals as well as the relatives. Witnessed resuscitation can represent an opportunity to understand and cope with the rational and irrational in the situation in a shared manner, as well as mitigate or dignify the mourning.

Perceptions of healthcare professionals about the presence of family members during cardiopulmonary resuscitation

“…A number of authors stress that families who are allowed to be present during their loved one's last moments have the opportunity to say goodbye (Axelsson et al, 2010;Fulbrook et al, 2005;Holzhauser & Finucane, 2007;Howlett et al, 2010;Köberich et al, 2010;McClement et al, 2009). In the view of many authors, family presence may be helpful in initiating the grieving process (Axelsson et al, 2010;Chapman et al, 2014;Fulbrook et al, 2005;García-Martínez & Meseguer-Liza, 2018;Howlett et al, 2010;Knott & Kee, 2005;Waldemar & Thylen, 2019).…”

Perceptions des professionnels de la santé face à la présence de la famille lors des manoeuvres de réanimation : une revue intégrative des écrits

“…Certains auteurs montrent qu'en étant présente auprès de leur proche, la famille serait davantage susceptible d'accepter l'arrêt des manoeuvres de réanimation (Howlett et al, 2010;McClement et al, 2009) et que les infirmiers ressentent ce même bénéfice (Fulbrook et al (2005) ; Köberich et al (2010). De plus, Gomes et al 2019 De nombreux auteurs soulèvent un fardeau émotionnel pour la famille dû à leur présence pendant la réanimation de leur proche (Fulbrook et al, 2005;García-Martínez et Meseguer-Liza, 2018;Holzhauser et Finucane, 2007Howlett et al, 2010;Knott et Kee, 2005;Miller et Stiles, 2009). Köberich et al (2010) Fell, 2009;Howlett et al, 2010;McClement et al, 2009;Porter et al, 2014;Tudor et al, 2014).…”

“…• Présence synonyme de fardeau émotionnel (García-Martínez et Meseguer-Liza, 2018;Holzhauser et Finucane, 2007Howlett et al, 2010;Knott et Kee, 2005;Miller et Stiles, 2009) • Traumatisme psychologique (Asencio-Gutiérrez et Reguera-Burgos, 2017;Fell, 2009;Howlett et al, 2010;McClement et al, 2009;Porter et al, 2014;Tudor et al, 2014) • Mauvaise interprétation de certains actes médicaux (Knott et Kee, 2005;Tudor et al, 2014) • Risque d'une mauvaise adaptation du processus de deuil (Holzhauser et Finucane, 2007) • Émotions pouvant interférer la réanimation (Chapman et al, 2014;Holzhauser et Finucane, 2007;Howlett et al, 2010;Köberich et al, 2010;Porter et al, 2014;Tomlinson et al, 2010;Waldemar et Thylen, 2019) • Manoeuvres de réanimation davantage stressantes (Jensen et Kosowan, 2011) • Augmentation des poursuites judiciaires (Axelsson et al, 2010;Fell, 2009;Howlett et al, 2010;Köberich et al, 2010;McClement et al, 2009;Porter et al, 2014;Powers et Reeve, 2018;Tomlinson et al, 2010) • Difficulté à mettre fin aux manoeuvres de réanimation…”

“…Plusieurs auteurs rapportent la possibilité donnée à la famille d'être présente dans les derniers instants de vie de leur proche leur permettant ainsi de leur dire au revoir durant le processus d'arrêt des manoeuvres de réanimation(Axelsson et al, 2010;Fulbrook et al (2005);Holzhauser et Finucane, 2007;Howlett et al, 2010;Köberich et al (2010);McClement et al, 2009). Selon de nombreux auteurs, la présence familiale aiderait la famille à entamer le processus de deuil(Axelsson et al, 2010; Chapman et al, 2014;Fulbrook et al, 2005;García-Martínez et Meseguer-Liza, 2018;Howlett et al, 2010;Knott et Kee, 2005;Waldemar et Thylen, 2019).Suite à une étude, Jabre et al (2013) rapportent que la fréquence d'apparition d'un stress post-traumatique était significativement plus élevée chez les familles n'ayant pas été présentes lors de la réanimation de leur proche comparativement aux familles ayant assisté à la réanimation. Certains symptômes du stress post-traumatique tels que l'anxiété et la dépression étaient davantage présents chez les membres de la famille qui n'ont pas été témoins de la réanimation (Jabre et al, 2013).…”

“…• Prise de conscience des familles de l'ampleur des soins fournis (Chapman et al, 2014;Fell, 2009;Holzhauser et Finucane, 2008;Howlett et al, 2010;Knott et Kee, 2005;McClement et al, 2009;Porter et al, 2014;Tudor et al, 2014) • Diminution de l'anxiété de la famille devant une compréhension de la gravité de la situation (Jensen et Kosowan, 2011) • Aide à l'acceptation de la fin de la réanimation (Gomes et al, 2019) • Aide au processus du deuil (Axelsson et al, 2010;Chapman et al, 2014;García-Martínez et Meseguer-Liza, 2018;Howlett et al, 2010;Knott et Kee, 2005) • Diminution d'un stress post-traumatique (Jabre et al, 2013) • Renforcement des liens entre la famille et l'équipe de soins (Asencio-Gutiérrez et Reguera-Burgos, 2017;Miller et Stiles, 2009;Porter et al, 2014;Powers et Reeve, 2018) • Sentiment d'être apprécié par la famille (Miller et Stiles, 2009) • Reconnaissance de la famille des efforts entrepris (Miller et Stiles, 2009) • Renseignements du patient davantage accessible (Chapman et al, 2014;Fell, 2009;Holzhauser et Finucane, 2008;Howlett et al, 2010) • Patient humanisé et non perçu comme un simple corps à réanimer (Chapman et al, 2014;McClement et al, 2009;Porter et al, 2014) RISQUES PERÇUS…”