“…La communauté a rapidement adhéré aux études de cohorte nécessaires afin d'évaluer ces nouveaux protocoles, d'anticiper les risques redoutés ou bien de répondre à des questions de santé publique [1]. Ces études concernent aussi bien le rapport bénéfice/risque des médicaments (bévacizumab [2], cétuximab [3], panitumumab [4] ou encore la succession de thérapies ciblées [5,6]) que des thèmes tels que la pharmacovigilance (alopécies persistantes post-chimiothérapie [7,8], toxicité cardiaque du trastuzumab [9], recueil d'évènements indésirables sous docétaxel ou bévacizumab [10]), le consensus anatomopathologique (récepteur HER2 dans le cancer de l'estomac), la pertinence des thérapeutiques palliatives [11] ou la prise en charge des personnes âgées [2]. Le référentiel inter régional a laissé place aux référentiels nationaux depuis 2007.…”