“…De ce fait, ils risquent peu de produire des dommages chez les adultes, par contre ils peuvent engendrer des troubles dans le couvain. L'application d'analogues d'hormones à des abeilles adultes a modifié le comportement de butinage, la production de phéromone d'alarme, l'hémolymphe, le gain de poids, la synthèse de la vitellogénine, la longévité et a inhibé les glandes hypopharyngiennes (Redfern et Knox, 1974 ;Jaycox et al, 1974 ;Rutz et al, 1974 ;Gerig, 1975 ;Atkins et al, 1976 ;Robinson, 1985 ;Usha et Kadasamy, 1986 ;Ceparano et Job, 1989 ;Gupta et Chandel, 1995 ;Pinto et al, 2000). Chez les larves l'intoxication expérimentale par contact ou par ingestion provoque la mort des oeufs, des larves, ou des malformations des larves, des nymphes ou des adultes.…”