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Introduction : La pratique de la méditation prend de l’ampleur dans la population générale et parmi les patients. L’ETP peut être un espace pour proposer cette pratique, mais ceci est mal documenté. Notre. Notre objectif est de recenser les pratiques méditatives en ETP sur un territoire et de les analyser afin de voir leurs conditions d’émergence et de développement. Méthode : Nous avons mené une enquête rétrospective quantitative à visée descriptive par auto-questionnaire en ligne auprès de 530 acteurs d’ETP (essentiellement des coordonnateurs de programme) en Occitanie et en PACA. Puis il a été proposé à 12 répondants de participer à un entretien compréhensif par téléphone. Résultats : 86 (16 %) personnes ont répondu au questionnaire en ligne, 33 (entre 6 % des personnes interrogées et 38 % des répondants) proposaient des pratiques méditatives en ETP. Parmi ces derniers, cela était proposé à l’hôpital comme en ville, pour différentes pathologies (principalement obésité), dans le cadre de programmes d’ETP (67 %) ou hors programme (33 %). Cinquante-cinq pour cent des équipes proposaient des pratiques méditatives dans des ateliers thématiques comme la gestion de l’alimentation, du stress ou des douleurs, 36 % lors d’un atelier dédié à la découverte de la méditation et 9 % offraient un programme de méditation de type Mindfulness-based-stress-reduction (MBSR). L’animation des séances était assurée par un intervenant en ETP expérimenté en méditation mais non formé à l’animation de la méditation (58 %), par un professionnel de l’équipe formé à cet accompagnement (27 %), ou par un prestataire extérieur formé (21 %). Les professionnels pensaient que cette offre était clairement bénéfique pour les patients. Discussion : Quel que soit le format pédagogique, la proposition de méditation en ETP peut s’inscrire dans diverses intentions éducatives. Dans le cadre d’un programme d’ETP, la proposition de méditation relève de la sensibilisation, et non de l’entraînement. Des formations courtes ou des DU en méditation en santé pourraient permettre à des intervenants en ETP de mener des séances de méditation. Des propositions sur les compétences à acquérir par les patients dans cette pratique et des points de vigilances dans l’organisation de séances de méditation sont présentées. Conclusion : La méditation, bien qu’encore peu proposée en ETP, peut être intégrée en ETP et semble profitable pour les patients et les soignants. D’autres études sur l’impact de cette offre éducative chez les patients sont nécessaires.
Introduction : La pratique de la méditation prend de l’ampleur dans la population générale et parmi les patients. L’ETP peut être un espace pour proposer cette pratique, mais ceci est mal documenté. Notre. Notre objectif est de recenser les pratiques méditatives en ETP sur un territoire et de les analyser afin de voir leurs conditions d’émergence et de développement. Méthode : Nous avons mené une enquête rétrospective quantitative à visée descriptive par auto-questionnaire en ligne auprès de 530 acteurs d’ETP (essentiellement des coordonnateurs de programme) en Occitanie et en PACA. Puis il a été proposé à 12 répondants de participer à un entretien compréhensif par téléphone. Résultats : 86 (16 %) personnes ont répondu au questionnaire en ligne, 33 (entre 6 % des personnes interrogées et 38 % des répondants) proposaient des pratiques méditatives en ETP. Parmi ces derniers, cela était proposé à l’hôpital comme en ville, pour différentes pathologies (principalement obésité), dans le cadre de programmes d’ETP (67 %) ou hors programme (33 %). Cinquante-cinq pour cent des équipes proposaient des pratiques méditatives dans des ateliers thématiques comme la gestion de l’alimentation, du stress ou des douleurs, 36 % lors d’un atelier dédié à la découverte de la méditation et 9 % offraient un programme de méditation de type Mindfulness-based-stress-reduction (MBSR). L’animation des séances était assurée par un intervenant en ETP expérimenté en méditation mais non formé à l’animation de la méditation (58 %), par un professionnel de l’équipe formé à cet accompagnement (27 %), ou par un prestataire extérieur formé (21 %). Les professionnels pensaient que cette offre était clairement bénéfique pour les patients. Discussion : Quel que soit le format pédagogique, la proposition de méditation en ETP peut s’inscrire dans diverses intentions éducatives. Dans le cadre d’un programme d’ETP, la proposition de méditation relève de la sensibilisation, et non de l’entraînement. Des formations courtes ou des DU en méditation en santé pourraient permettre à des intervenants en ETP de mener des séances de méditation. Des propositions sur les compétences à acquérir par les patients dans cette pratique et des points de vigilances dans l’organisation de séances de méditation sont présentées. Conclusion : La méditation, bien qu’encore peu proposée en ETP, peut être intégrée en ETP et semble profitable pour les patients et les soignants. D’autres études sur l’impact de cette offre éducative chez les patients sont nécessaires.
Background: Anterior knee pain (AKP) syndrome is one of the most common conditions that prompt active young individuals to seek evaluation at sports injury clinics. Compared to the general population, patients with AKP appear to be at a higher risk of developing patellofemoral osteoarthritis. AKP can be detrimental to the affected patient’s quality of life and, in the larger context, it could markedly burden the economy with high healthcare costs. This opinion aims to present a comprehensive evaluation of AKP to improve its management in clinical practice.Current Concepts: AKP has a multifactorial etiology. It can be attributed not only to structures within and around the knee but also to external factors, such as limb malalignment, weakness of specific hip muscle groups, and core and ligamentous laxity. Hence, AKP warrants a detailed evaluation of patient’s medical history and a thorough clinical examination complemented by relevant radiological investigations to identify its origin in the knee and the underlying cause. Conservative management yields favorable outcomes in the majority of patients with AKP, whereas surgical management becomes necessary only when well-characterized structural abnormalities of the knee or limb correlate with the clinical presentation of AKP or when conservative measures fail to provide substantial and sustained symptoms relief.Discussion and Conclusion: The treatment strategy for AKP should be individualized based on the patient’s profile and the specific cause identified. Therefore, the management of AKP requires a focused evaluation of the patient’s medical history, clinical examination, and radiological investigations to identify the condition’s origin and underlying cause.
Background: Patellofemoral joint problems refer to a spectrum of conditions affecting the patellofemoral joint, which is the joint between the patella and femur. These conditions can cause pain and instability in the knee and affect an individual’s ability to perform daily activities. Patellofemoral joint problems commonly cause knee pain, particularly among young athletes and physically active individuals. This review article discusses current patellofemoral joint problems, including their epidemiology, pathophysiology, diagnosis, and management.Current Concepts: Patellofemoral joint problems are presented as clinical symptoms of pain and instability. Dividing the diagnostic criteria into anterior knee pain, patella instability, and patellofemoral arthritis is useful. Anterior knee pain is diagnosed after excluding possible causes. Patellar instability is classified into recurrent dislocation, habitual dislocation (extension and flexion types), and permanent dislocation. Moreover, patellar instability can progress to the final stage of patellofemoral arthritis. Thus, patellar instability should be treated according to the Dejour criterion, and patellofemoral arthritis treatment requires artificial joint replacement surgery.Discussion and Conclusion: The pathological mechanism of patellofemoral joint problems still needs to be properly established, and multifactorial causes make it difficult to treat patellofemoral joint problems. Accurate diagnosis is considered an essential factor for successful treatment.
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