Effect of calcium and cholecalciferol treatment for three years on hip fractures in elderly women

Chapuy, M. C.; Arlot, M.; Delmas, PD; Meunier, P. J.

doi:10.1136/bmj.308.6936.1081

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“…5 mg ergocalciferol is not effective in preventing non-vertebral fractures among elderly men and women resident in the general population (13) . In contrast, previous studies do show an effect of combined Ca and vitamin D on fracture prevention (14)(15)(16) ; these studies involved older and frailer participants who were mostly institutionalised and therefore more likely to have vitamin D insufficiency and secondary hyperparathyroidism. A recent meta-analysis of twenty-nine randomised controlled trials that included participants aged > 50 years suggests that Ca alone or in combination with vitamin D is effective for the prevention of osteoporotic fracture.…”

Section: Older Agementioning

confidence: 86%

Session 2: Other diseases Dietary management of osteoporosis throughout the life course

et al. 2009

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Osteoporosis-related fractures have a major impact on health at the individual and societal levels, through associated morbidity and increased mortality. Up to 50 % of women and 20 % of men at age 50 years may have a fragility fracture in their remaining lifetimes. Nutrition is important throughout the life course. Thus, adequate Ca and vitamin D intake has been shown to reduce risk of fracture in old age. Other factors such as protein and vitamin K may also be important, although the evidence here is less strong. In childhood Ca or vitamin D supplementation trials have demonstrated modest short-term increases in bone mass, but the long-term implications have not been established. Over recent years it has become apparent that maternal nutrition may have critical and far-reaching persistent consequences for offspring health. Thus, reduced maternal fat stores and low levels of circulating 25-hydroxyvitamin D in pregnancy are associated with reduced bone mass in the offspring; placental Ca transport may be key to these relationships. Wider maternal dietary patterns have also been shown to predict offspring bone mass. These data suggest that an interventional approach aimed at specific micronutrients, such as vitamin D, should be complemented by general optimisation of the mother's diet and lifestyle in order to maximise intrauterine bone mineral accrual and postnatal skeletal growth and thus reduce the burden of osteoporotic fractures in future generations.Osteoporosis: Nutrition and bone health: Conception to old age Epidemiology of osteoporotic fractureOsteoporosis is a skeletal disease characterised by low bone mass and microarchitectural deterioration of bone tissue with a consequent increase in bone fragility and susceptibility to fracture (1) . These fractures typically occur at the hip, spine and wrist. It has been estimated that at age 50 years the remaining lifetime risk of fracture at one of these sites is 50% among women and 20 % among men (2) . Osteoporotic fracture has a huge impact economically, in addition to its effect on health. Osteoporotic fracture costs the USA approximately US$17 . 9 · 10 9 /year, with the cost in the UK being £1 . 7 · 10 9 /year (3) . Hip fractures contribute most to these costs.In most populations the occurrence of hip fractures increases exponentially with age. Overall, approximately 98% of hip fractures occur among individuals aged > 35 years and 80% occur in women (2) . Hip fracture rates are highest in Caucasian women living in temperate climates and appear to be lower in women from Mediterranean and Asian countries, with the lowest rates in African women (4) . Data from the European Vertebral Osteoporosis Study have shown an age-standardised population prevalence of vertebral fracture across Europe of 12 . 2% for men and 12 . 0 % for women aged 50-79 years of age (5) . Wrist fractures show a different pattern of occurrence from hip and vertebral fractures, with a plateau in risk after 60 years of age. Future projectionsWith life expectancy increasing around the globe, th...

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Section: Older Agementioning

confidence: 86%

Session 2: Other diseases Dietary management of osteoporosis throughout the life course

et al. 2009

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“…Les premiers travaux sont français. En effet, Chapuy et al (1992Chapuy et al ( et 1994 ont démon-tré l'efficacité d'une dose vitaminique journalière de 800 UI (additionnée de 1,2 g de calcium) sur la normalisation de la parathormonémie, ainsi que sur le taux fractuaire des personnes institutionnalisées (réduction de 23 % des fractures du col du fémur après 3 ans). De même, dans l'étude finlandaise de Heikinheimo et al (1992) portant sur une population de 1186 femmes et hommes, d'un âge moyen 82,8 ans et vivant de façon indépendante ou étant institutionalisés, une réduction de 25 % de l'incidence d'épisodes fracturaires a été obtenue avec une injection annuelle de 150 000 à 300 000 UI (pendant 4 ans).…”

Section: Réduction Du Risque Fracturaireunclassified

Vitamine D et santé osseuse

Coxam

Davicco

Wittrant

2014

Cahiers de Nutrition et de Diététique

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Résumé -Le calcium est l'élément déterminant de la qualité du squelette parce qu'il lui confère ses propriétés de rigidité. Ainsi, en raison de l'enjeu majeur de santé publique représenté par les atteintes de l'appareil locomoteur chez les séniors, l'optimisation du statut calcique doit donc être assurée par la couverture des besoins définis par les apports nutritionnels conseillés, mais aussi par une potentialisation de sa biodisponibilité. Par conséquent, toute stratégie capable de favoriser l'absorption calcique doit être considérée. C'est pourquoi, la consommation alimentaire de calcium, ainsi que toute calcithérapie, doit être associée à la vitamine D qui, sous sa forme di-hydroxylée, intervient dans le mécanisme de transport actif du minéral à travers la paroi entérocytaire. Ce concept bénéficie d'un consensus et est solidement établi. D'autre part, des études récentes indiquent que la 25(OH)D pourrait directement moduler les cellules osseuses qui possèdent, non seulement des récepteurs spécifiques (VDR), mais aussi la 1α-hydroxylase nécessaire à la transformation de la molécule en son métabolite actif. En ce qui concerne la démonstration des effets osseux de la vitamine D, il est évident que l'hyperparathyroïdisme secondaire qui se développe lors d'une déficience du statut en vitaminique D est extrêmement délétère puisque qu'elle engendre une accélération de la résorption. C'est la raison pour laquelle, en situation de carence, une supplémentation peut améliorer le remodelage et la masse osseuse. Toutefois, l'effet reste faible. En revanche, les scientifiques s'accordent à considérer qu'une supplémentation associant calcium et vitamine D peut réduire le risque de fracture, l'intensité dépendant notamment du seuil initial de consommation, de la dose prescrite et bien sûr de l'observance du traitement. Plusieurs méta-analyses ont pu confirmer ces travaux initiaux. Cette apparente disparité entre la masse osseuse et le risque fracturaire pourrait s'expliquer par le cumul des effets de la vitamine sur le squelette avec l'impact exercé sur des cibles extra-osseuses comme, par exemple, le muscle, puisque le risque de chute diminue lors d'une prise en charge vitaminique. En outre, selon des données récentes, la vitamine D pourrait également réduire la masse adipeuse et l'insulino-résistance qui sont aussi des facteurs de risque pour la santé osseuse. En résumé, même si tous les mécanismes cellulaires et moléculaires ne sont pas totalement élucidés, le bénéfice d'une supplémentation en vitamine D est réel chez la personne carencée (en particulier le sujet âgé). Il est donc évident qu'il faut être vigilant au respect des recommandations. De plus, une correction des déficiences éventuelles devrait précéder ou accompagner toute thérapeutique en matière de pathologies osseuses. Mots clés :Vitamine D / santé osseuse / risque de chute / risque de fracture Abstract -Vitamin D and bone health. Calcium is the key determinant of the quality of the skeleton because it gives it its stiffness properties. Thus, because of the ...

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“…Le calcium et la vitamine D L'indication essentielle de la supplé-mentation vitamino-calcique est la prévention de la perte osseuse chez les personnes âgées, en particulier celles vivant en institution. Une étude a montré une diminution d'environ 25 % du risque de fracture de l'extrémité supérieure du fémur chez des femmes âgées institutionnalisées [50]. Chez les femmes méno-pausées, l'apport alimentaire en calcium étant souvent insuffisant, on associe souvent au traitement antiostéoporotique un apport de 500 à 1000 mg/j de calcium et de 400 à 800 UI/j de vitamine D.…”

Section: éTiologie Et Facteurs De Risqueunclassified

L’ostéoporose : épidémiologie, clinique et approches thérapeutiques

Fontana

Delmas

2001

Med Sci (Paris)

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Effect of calcium and cholecalciferol treatment for three years on hip fractures in elderly women

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Session 2: Other diseases Dietary management of osteoporosis throughout the life course

Session 2: Other diseases Dietary management of osteoporosis throughout the life course

Vitamine D et santé osseuse

L’ostéoporose : épidémiologie, clinique et approches thérapeutiques

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