From February 2000 to January 2002, I investigated correlates of landscape fragmentation with coyote (Canis latrans Say, 1823) group size and resulting effects on within-group spatial interaction in west-central Indiana, USA, to determine whether habitat patch dispersion and attributes mediated group maintenance and persistence. Twenty-one radio-collared coyotes were assigned to 15 social groups; group territories were then classified as having dispersed (n = 10) or aggregated (n = 5) resource patches. Group size was larger in territories with aggregated patches and was directly correlated to forest area and inversely correlated to corridor area (top-ranked model: group size = β 0 + forest area -corridor area; AIC c = -2.12, ∆AIC c = 0.0, ω i = 0.67). Territories with aggregated patches had proportionally more forest (mean = 0.41, SE = 0.02) and less corridor (mean = 0.01, SE = 0.002) habitats than territories with dispersed patches (forest area: mean = 0.11, SE = 0.01; corridor area: mean = 0.03, SE = 0.002). Within-group spatial interaction was not influenced by patch dispersion. I suggest that differences in territory and group sizes relative to patch dispersion reflect the complex combination of environmental pressures present in human-dominated landscapes and their potential to perturb canid social organization.Résumé : Afin de déterminer si les caractéristiques et la dispersion des taches d'habitat sont responsables du maintien et de la persistance des groupes chez le coyote (Canis latrans Say, 1823), la présente étude menée de février 2000 à janvier 2002 dans le centre-ouest de l'Indiana, É.-U., examine les facteurs de corrélation entre la fragmentation de l'habitat et la taille des groupes, ainsi que les effets qui en découlent sur l'interaction spatiale au sein des groupes. Vingt-et-un coyotes munis de colliers radio ont pu être rattachés à 15 groupes sociaux; les territoires des groupes ont ensuite été classifiés comme possédant des taches de ressources dispersées (n = 10) ou contagieuses (n = 5). La taille des groupes est plus grande dans les territoires qui ont des taches contagieuses et elle est en correction directe avec la surface de la forêt et en corrélation inverse avec la surface des corridors (modèle le meilleur : taille du groupe = β 0 + surface de forêt -surface de corridor; AIC c = -2,12, ∆AIC c = 0,0, ω i = 0,67). Les territoires possédant des taches contagieuses ont proportionnellement plus d'habitats forestiers (moyenne = 0,41, ET = 0,02) et moins de corridors (moyenne = 0,01, ET = 0,002) que les territoires avec des taches dispersées (surface de forêt: moyenne = 0,11, ET = 0,01; surface de corridor: moyenne = 0,03, ET = 0,002). L'interaction sociale au sein des groupes n'est pas affectée par la dispersion des taches. Mon hypothèse est que les différences de taille des territoires et des groupes en fonction de la dispersion des taches sont le reflet d'une combinaison complexe de pressions environnementales présente dans les paysages dominés par les humains et du potentiel de perturbation...