Écologie et biologie de Nothrus palustris (C. L. Koch) (Acari Oribatei) Densité et structure de la population

Caractéristiques biodémographiques d'un acarien oribate (Carabodes willmanni) des pelouses xérophiles

“…(iii) Pupaison-Ce stade correspond au <<pre-ecdysial resting stage>> des auteurs anglophones et a dtjh t t t dtcrit, notamment par Woodring et Cook (1962) ' Lebrun (1968), et Arlian et Woolley (1970)' et de nombreux auteurs mentionnent sa durte : outre les prtckdents, on peut citer Murphy et Jalil (1964), Woodring (1965)' Travt et Duran (197 l), Shereef (1972) ' Cancela da Fonseca (1975), et Luxton (198 1). L'animal est complktement immobile dans sa logette (plus rarement sur le substrat) jusqu'h la sortie de la stase suivante.…”

“…Celui-ci est calculC par Lebrun (1968) comme la (taille adulteltaille larve). Ce rapport semble remarquablement stable chez les oribates : Lebrun (1968 une progression gkometrique constante entre la taille d'une stase et la suivante) et la constante de Hutchinson (1959), d'une valeur thkorique de 1'28, qui s'applique aux rapports de taille entre especes a l'intirieur d'une guilde.…”

“…Celui-ci est calculC par Lebrun (1968) comme la (taille adulteltaille larve). Ce rapport semble remarquablement stable chez les oribates : Lebrun (1968 une progression gkometrique constante entre la taille d'une stase et la suivante) et la constante de Hutchinson (1959), d'une valeur thkorique de 1'28, qui s'applique aux rapports de taille entre especes a l'intirieur d'une guilde. 11 convient toutefois de rester prudent dans l'utilisation de ces rapports dont la signification kcologique, du point de vue du partage des ressources, est tres controverske (Polis 1984).…”

Les Oribates des tourbières du Jura suisse (Acari, Oribatei): Ecologie. III. Comparaison a posteriori de nouvelles récoltes avec un ensemble de données de référence

“…L'usage de ces taxons comme standards de mesure des facteurs concernés est du ressort des bioessais. Lebrun (1980Lebrun ( , 1981 aborde la question sous l'angle des Oribates, en prenant notamment pour exemples les travaux de son équipe sur Humerobates rostrolamel latus Grandjean 1936 et ses réactions à la concentration de S0 2 dans l'atmosphère (Lebrun et al, 1977(Lebrun et al, , 1978André et al, 1982). Au niveau spécifique, d'autres situations se prêtent davantage à des études de dynamique des populations, la mise au point d'outils pratiques passant alors par la modélisation à l'aide d'équations différentielles;…”