“…Pourtant, dans son impressionnante bibliographie, celui-ci ne mentionne que trente-six livres parus depuis l’an 2000 (Schoors, 2013 : xxl–lxvi), et ce, en comptant la traduction anglaise du commentaire de Lohfink initialement publié en 1980 ( (Lohfink, 2013). Les autres commentaires ou monographies thématiques prennent encore moins en considération les livres publiés depuis l’an 2000 ; c’est par exemple ce dont témoignent les ouvrages suivants qui ne signalent dans leur bibliographie qu’un nombre restreint de livres originellement publiés après l’an 2000 : aucun (Hatem, 2014 et 2015 ; Baudin, 2015 ; Nowell, 2013 ; Stancari, 2012), un (Leloup, 2016), deux (Proulx, 2015 ; Plantinga Pauw, 2015 ; Storstein Haug, 2012 ; Park, 2014), trois (Pinto, 2014), quatre (Dell, 2013; Douglas, 2014), cinq (Schellenberg, 2013), six (Holmstedt, Cook et Marshall, 2017 ; Oh, 2014; Pinçon, 2013), sept (Curtis, 2013), neuf (Mellerin, 2016 ; Köhlmoos, 2015 ; Perry, 2015 ; Barbour, 2012), dix (Piotti, 2012), onze (Faessler, 2013), douze (Segal, 2016 ; Dieckmann, 2012), quatorze (Kim, 2018 1 ; Stefani, 2014), quinze (Bundvad, 2015), seize, en comptant la mention d’une thèse non publiée (Chango, 2013), dix-sept (Fuhr, 2013), dix-huit (Duncan, 2017), vingt (Crenshaw, 2013), vingt-six (Bolin, 2017). Le collectif dirigé par Boda, Longman et Rata (2013), qui est censé s’intéresser à la recherche du 21 e siècle, comme le sous-titre l’indique, ne présente que dix-sept livres, dont seize en anglais et un en allemand, lequel n’est cité qu’à une seule reprise (2013 : 370, note 10), et rien n’indique qu’il a été lu.…”