“…La rareté de ce genre d'étude vient sans doute du fait que l'interdatation dans les racines demande beaucoup plus de temps que celle effectuée à partir de sections dans les tiges, qui sont plus facilement accessibles (Krause et Eckstein 1993). Quelques chercheurs ont étudié la croissance radiale des racines, notamment Schulman (1946), Fayle (1975b), Krause et Eckstein (1993), Hardy (1998) et Krause et Morin (1995a, 1995b, 1998, mais à notre connaissance, les racines du pin gris n'ont pas encore été soumises à des analyses dendrochronologiques.…”