“…La critique de la vitesse accrue des communications (Dubar, 2011) induite par le digital capitalism (Wajcman, 2015) Ericson et al, 2016 ;Keightley, 2012 ;Ouakrat, 2015), mais ils posent aussi la question du ralentissement (slow movement) comme réaction et résistance à l'accélération sociale (Liabert, 2017), également observée en écologie (Deléage & Sabin, 2014). Les crises économiques, écologiques et politiques (Dubar, 2011), ainsi que les transformations des industries médiatiques provoquent un malaise et un questionnement relatifs à des temporalités qui semblent aller trop vite.…”