Disneyland, 1955: Just Take the Santa Ana Freeway to the American Dream

Marling, Karal Ann

doi:10.1086/424113

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“…With respect to Disneyland as a whole, Disney designers themselves have described the park's spatial organization as cinematic (see the quote by John Hench at the beginning of this article). Many critics have taken up Hench's idea of sequentiality, arguing that Disneyland translates the temporal logic of film into the spatial logic of the theme park by presenting to visitors an “orderly sequence of messages” (Avila 126), an “edited sequence of sights and sounds” (Marling 197) . It can indeed be argued that the experience of entering Disneyland and walking down Main Street to Central Plaza, through formal imitation, implicitly references the experience of going to a movie theater and watching the beginning of a movie (an establishing shot).…”

Section: Intermedial Relationsmentioning

confidence: 99%

“Like Walking into a Movie”: Intermedial Relations between Theme Parks and Movies

Freitag¹

2017

The J of Popular Culture

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Section: Intermedial Relationsmentioning

confidence: 99%

“Like Walking into a Movie”: Intermedial Relations between Theme Parks and Movies

Freitag¹

2017

The J of Popular Culture

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“…Let us revisit, for example, Disneyland's Jungle Cruise ride, the one that caught Umberto Eco's attention. Art historian Karal Ann Marling describes that the Jungle Cruise, the most successful attraction of Disneyland's Opening Day, was so immediately appealing to 1950s park‐goers because it “was a visceral, sensual experience, like stepping, somehow, into the Technicolor confines of [1950s Hollywood blockbuster] The African Queen and becoming a member of the cast” (173). In effect, “Dalí's Dream of Venus” and the Jungle Cruise were similarly revolutionary in the way that they allowed guests to move away from passive observation and toward experiencing, engaging with, and journeying through some sort of other world.…”

Section: Thematic Immersion: “Dalí's Dream Of Venus” As Disneyland's mentioning

confidence: 99%

Dalí, Disney, and the Dionysian: What's Wrong with the Happiest Place on Earth?

Muchnick¹

2017

J of American Culture

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“…De fait, on peut penser que la relation entre la grande vitesse ferroviaire et Anaheim est double ou duale, elle bénéfi cie à la fois aux activités touristiques de la ville et au projet de grande vitesse en Californie. (Marling, 1991;Didier, 2002). Selon Lai (2012) Toutefois, la grande vitesse et la gare prévues à cet effet ne font pas tout.…”

Section: Orange Et Anaheim Berceaux Du Tourisme Récréatif éTats-unienunclassified

Grande vitesse ferroviaire et tourisme, des relations conditionnées et à double sens

Ruggeri

2016

teoros

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Introduction et problématisationLa grande vitesse ferroviaire peut être couramment associée à un miracle économique pour les territoires qu'elle dessert. En effet, lorsque des projets de lignes ferroviaires à grande vitesse et de gares sont développés sur des territoires, les acteurs locaux espèrent que la grande vitesse sera synonyme de déve-loppement économique. Les avantages de la grande vitesse ferroviaire sont nombreux et favorisent l'accessibilité de certains territoires. Les trains à grande vitesse permettent d'atteindre plus rapidement les villes desservies. Ils permettent souvent d'arriver en plein centre des villes, contrairement au transport aérien. Si l'on voyage seul ou à deux, le train à grande vitesse revient moins cher que l'automobile. Ces trois principaux arguments sont souvent pertinents, mais ne s'appliquent pas systématiquement à tous les territoires desservis. En effet, les gares exurbanisées sont courantes sur les lignes à grande vitesse. Par ailleurs, le train à grande vitesse n'est pas toujours la solution la plus économique selon le pays concerné. Au-delà de ces arguments qui relèvent de la pratique, un autre élément joue en faveur de la grande vitesse ferroviaire : les réseaux sont rentables dans les pays où ils sont implantés, particulièrement en France (CHSRA, 2012). Au vu de ces arguments, on peut comprendre l'intérêt et le désir des territoires d'être reliés aux réseaux de la grande vitesse ferroviaire. De fait, tous ces arguments prennent également sens pour le tourisme. Puisque le tourisme implique un déplacement de son lieu d'habitation vers un lieu de villégiature ou de loisirs, les transports sont au coeur de cette activité. Ainsi, la recherche en géographie s'est penchée sur les liens entre transports et tourisme (Équipe MIT, 2002;Duhamel et Knafou, 2007), en particulier entre grande vitesse ferroviaire et tourisme (Chen et Haynes, 2012; Coronado et al., 2012;Delaplace et Perrin, 2012). Ces recherches ont surtout été menées à partir de cas européens puisqu'en Europe, le réseau à grande vitesse existe depuis le début des années 1980. Cet intérêt à étudier la relation entre ce mode de transport et le tourisme reflète les espoirs que les acteurs locaux formulent envers la grande vitesse ferroviaire. Certains acteurs locaux associent la grande

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Disneyland, 1955: Just Take the Santa Ana Freeway to the American Dream

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Dalí, Disney, and the Dionysian: What's Wrong with the Happiest Place on Earth?

Grande vitesse ferroviaire et tourisme, des relations conditionnées et à double sens

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