Dietary Protein and Energy as Determinants of Food Quality: Trophic Strategies Compared

Abstract

The effects of dietary protein and energy on ingestion and growth were determined for nutrient ranges that correspond to primary foods in freshwaters: algae, aquatic macrophytes and organic detritus. Sixteen diets containing four levels of metabolizable energy (ME) (3.1, 6.7, 10.5, 14.1 kJ/g) and four levels of protein (3.0, 13.2, 23.2, 33.4 mg/kJ ME) were each fed ad libitum to four replicate groups of juvenile Tilapia aurea for 42 d. Protein, energy, and protein—energy interaction affected both ingestion and growth (two—way ANOVA, all P < 0.01). Increased ingestion largely compensated for lower energy levels within each protein level. Growth was proportional to diet protein content, and ingestion did not compensate for protein limitation. A second—order polynominal for growth as a function of diet protein content and energy assimilation rate fitted by linear regression accounts for 91% of variation in growth and provides a model for comparison of the relative importance of protein and energy as nutritional constraints for animals feeding on invertebrate prey, algae, aquatic macrophytes, and organic detritus. Protein appears to be the primary constraint to food value of macrophytes, and detritus, and we predict from our results that consumers of these materials will increase growth most by feeding selectively on the most protein—rich material available, as has been observed. In contrast, growth of animals feeding on algae will be increased most by increased ingestion. Omnivory is interpreted as a compromise strategy in which protein from scarce animal prey is complemented by energy from abundant primary foods.

Stable carbon and nitrogen incorporation in blood and fin tissue of the catfish Pterygoplichthys disjunctivus (Siluriformes, Loricariidae)

“…Periphyton can be rich in soluble polysaccharides (Leppard 1995;Wotton 2004;Klock et al 2007), lipids (Napolitano et al 1996), and protein (Bowen et al 1995), and thus, may be a relatively nutritious food source for grazing fishes (German 2009a). The similarity in isotopic signature among all of the tissues sampled from wild-caught P. disjunctivus suggests that this fish species has a relatively consistent diet over time in Wekiva springs, or at least in the time period leading up to tissue collection.…”

Qualité Nutritive De L’alimentation Naturelle Du Tilapia Oreochromis Niloticus en Élevage Extensif Dans Des Étangs De Barrage (Côte D’ivoire)

“…La qualité des apports nutritifs joue un rôle important dans le comportement et la stratégie alimentaire des poissons (BOwEn et al, 1995). Ce caractère mis en évidence à travers l'analyse des indicateurs chimiques et biochimiques de la valeur nutritive, est variablement apprécié au niveau des différentes sources alimentaires des barrages.…”

“…Ces teneurs sont par contre comparables à celles déterminées dans les agrégats détritiques du lac Valencia (Venezuela) et dans les sédiments du lac Sibaya en Afrique du Sud (BOwEn, 1979 ;. De plus, le contenu énergétique (10 kJ.g -1 de poids sec), ainsi que le ratio P/E (autour de 6 mg.kJ -1 ) s'intègrent dans l'intervalle de valeurs mesurées dans le compartiment détritique (BOwEn et al, 1995). Ceci reflète probablement l'origine détritique de la matière organique sédimentaire des barrages ; cette hypothèse est soutenue par la présence de nombreux morceaux de bois et des macrophytes dans ces milieux, ajoutés aux apports allochtones (rejets d'origine anthropique, eaux de ruissellement).…”

“…Un facteur explicatif probable est la densité d'empoissonnement qui est moins élevée dans le barrage 2, ce qui permet une disponibilité des ressources plus importante se traduisant par une meilleure digestion. Dans le cas du barrage 1, l'effet de la densité se traduirait par une dégradation de la qualité de la ration et cette observation semble être en accord avec la relation faite par BOwEn et al (1995) qui montrent une baisse de digestibilité liée à une concurrence alimentaire en situation de carence en protéines de la ration, comme observé dans l'alimentation des poissons issus de ces barrages.…”

“…Ce faible taux serait en partie lié à la composition chimique de la nourriture ingérée, caractérisée par une teneur élevée en matériel minéral qui pourrait provoquer une diminution de la sensation de réplétion chez les poissons et une baisse de leur croissance (MORIARTy et MORIARTy, 1973). Par ailleurs, le ratio Protéines/Énergie du bol alimentaire, variable affectant le taux d'ingestion et la croissance (BOwEn et al, 1995 ;SwEILUM et al, 2005 ;EL-SAIDy et GABER, 2005), parait faible pour soutenir correctement la croissance des poissons. Ce faible taux de croissance contraste cependant avec les biomasses moyennes (276 et 282 g dans les barrages 1 et 2) observées en fin de cycle.…”