“…L’IRM analyse mieux les rapports avec les structures adjacentes, et montrent une masse iso ou hyper intense T1, non ou faiblement rehaussé après injection de gadolinium, et hyper intense T2 [ 7 , 8 ]. Il existe des diagnostics différentiels aux ectopies thyroïdiennes, notamment avec les adénopathies cervicales, les parathyroïdes ectopiques, les pathologies tumorales des glandes salivaires bénignes (adénome, tumeur glomique, schwannome), et malignes (sarcome, carcinome) et les autres anomalies congénitales [ 12 ]. Le tableau clinique, le bilan biologique et surtout l’imagerie permettent de guider le diagnostic.…”