Development and validation of a questionnaire for quantitative assessment of perceived discomforts in critically ill patients

Abstract

The psychometric properties and acceptability of the IPREA questionnaire make it a potential instrument for measuring discomfort perceived by unselected ICU patients.

A qualitative study about palliative care patients’ experiences of comfort: Implications for nursing diagnosis and interventions

“…However, and as reported in previous studies, comfort experience is frequently explored and understood through discomfort experiences or in the absence of comfort. [25][26][27] In this study, participants' experiences and views about comfort were represented in five main topics, regarding the physical, psychological, spiritual, social and environmental contexts. Findings highlight that participants experienced not only physical symptoms ("Me and what I feel") -such as pain, difficulty in resting, anorexia, asthenia and constipation -but also psychological ("Me and how I react") and spiritual problems ("Me and the meaning of my life"), such as lack of security, fear, sense of vulnerability, uncertainty, guilt and hopelessness.…”

Le bien-être du patient en réanimation — Comment l’améliorer ?

“…De nombreux travaux sont basés sur des questionnaires fermés où le patient cote l'intensité de sa douleur ou de son stress pour une série de symptômes préétablis ou de procé-dures [6][7][8][9]. Ces questionnaires évaluent des patients conscients au cours de leur séjour ou font appel, après la sortie de réanimation, aux souvenirs.…”

“…Une étude française récente montre que les sources d'inconfort restent identiques : privation de sommeil, immobilisation par les perfusions et les câbles, soif, douleur, bruit et anxiété obtiennent les scores les plus élevés en intensité d'inconfort généré [8].…”

“…L'intensité de l'inconfort et du stress générés par les troubles du sommeil est importante [6,8,15]. Par ailleurs, le temps réel de sommeil objectivé par polysomnographie est surestimé par les soignants.…”

“…Le bruit est un facteur de stress retrouvé dans de nombreuses évaluations [8,15]. Des mesures réalisées à partir d'enregistrements continus nocturnes objectivent de nombreux pics dépassant 80 dB et un niveau de bruit ambiant autour de 59 dB [16].…”