Une analyse du recensement agricole 2010 montre que 41 000 exploitations détiennent en moyenne trois équidés, et que 14 000 en détiennent plus de 300 000. L'importance des poulinières dans les cheptels permet de distinguer les exploitations d'élevage, avec plus ou moins de services : reproduction, pension ou travail, des structures plus orientées centres équestres ou entraînement. Dans les structures d'au moins une Unité de travail annuel (UTA), les ratios varient de 40 équidés par UTA en moyenne en race de trait à 20 têtes en chevaux de selle et à 15 en chevaux de course. Cette analyse montre que les exploitations agricoles avec équins peuvent être source de références sur les structures de la filière équine. MOTS-CLÉS : chevaux, ânes, recensement agricole, emplois, entreprises
Can farms with equids serve as a reference for equine industry facilities?An analysis of the 2010 French agricultural census shows that 41,000 farms hold on average three equids, and 14,000 farms hold more than 300,000 equids in total. The prominence of broodmares in herds enables us to discriminate breeding farms (which offer varying services, including breeding and livery boarding) from facilities that function more as riding schools or training stables. In facilities with at least one annual work unit (AWU), the rate ranges from forty equids per AWU on average for draft farming, twenty for saddle horses, and fifteen for race horses. This analysis shows that farms with equids can serve as a reference for all types of equine industry facilities. (JEL: Q).