Décisions de limitation ou d’arrêt des thérapeutiques actives dans les services d’urgence

End-of-life medical decisions in France: a death certificate follow-up survey 5 years after the 2005 act of parliament on patients’ rights and end of life

“…One explanation for this low rate might be that, unlike some of the EURELD surveys with a higher response rate, we did not stratify the sample according to the likelihood that death followed a potential end-of-life decision, and therefore sent our questionnaire to proportionally more physicians who would probably consider their patient's end of life to be irrelevant to the survey. But in fact, this participation rate is fairly close to that for other surveys of French physicians [ 7 , 14 ]. In the non-response survey, the main reasons given were lack of time and refusal to take part in any kind of survey.…”

“…In the MAHO survey [ 28 ], carried out in public hospitals, withholding or withdrawing life support was less frequent than in our results concerning all public hospitals (45.4% of the deceased patients included in the study, vs. 51.2% in our survey). In the DALISA survey [ 8 , 14 ], carried out in emergency departments, withholding life support was observed in 41.5% of the deaths, and withdrawing (alone or preceded by withholding) life support in 58.5%, vs. 89% and 11% respectively, in our results concerning emergency departments. These differences may be partially explained by the different study designs; the legislation has also changed between these studies and ours.…”

Élaboration et validation d’une fiche d’aide à la décision de limitation ou d’arrêt des traitements aux urgences

“…La prise en charge des patients en situation de fin de vie avec la question de la limitation des traitements est pluridisciplinaire [15,18], c'est pourquoi nous Tableau 2 Ré sultats pour les questions de la FADLAT a n'ayant pas obtenu de consensus au Tour 1.…”

Augmenter le prélèvement d’organes sur donneurs décédés en mort encéphalique, Cristal action : un nouvel outil pour les établissements de santé en France

“…Or, une étude récente a montré que pour la plupart des urgentistes ou réanimateurs, l'admission en réanimation d'un sujet âgé de plus de 75 ans pour coma grave secondaire à un accident vasculaire cérébral avec signe d'engagement n'était pas indiquée [9]. Ainsi, l'absence de proposition d'admission ou le refus d'admission en réanimation justifiée par une déci-sion de limitation ou d'arrêt des traitements (LAT) conduit de fait à une impossibilité de prélever dans ces circonstances des donneurs d'organes potentiels [10]. Des recommandations récentes sous l'égide de la Société de réanimation de langue française (SRLF) permettent de mieux prendre en compte la possibilité de don lors de la prise en charge des patients en coma grave à la suite d'un accident vasculaire cérébral [11,12].…”