Decision-making impairments in patients with pathological gambling

Addiction aux jeux d’argent

“…Pour remédier à ce problème, d'autres tâches plus simples ont été développées comme la Game of dice task (jeu de dés mesurant la propension des sujets à parier sur des tirages improbables selon le gain associé) et la Cambridge gambling task (jeu de pari dans lequel le sujet peut choisir le montant des points mis en jeu en fonction de sa confiance en sa décision). Les résultats observés sont similaires à ceux de l'IGT, et montrent une proportion élevée de choix risqués et désavantageux sur le long terme chez les joueurs, ce qui confirme un déficit central lié à la prise de décision [39,40]. La relation exacte entre ce déficit et les problèmes de fonctions exécutives reste cependant un sujet de débat : alors que certaines études ont mis en évidence une corré-lation entre ces deux perturbations [39], d'autres ont rapporté une perturbation des processus de prise de décision en l'absence de problèmes de flexibilité cognitive ou de mémoire de travail [34,40].…”

“…Les résultats observés sont similaires à ceux de l'IGT, et montrent une proportion élevée de choix risqués et désavantageux sur le long terme chez les joueurs, ce qui confirme un déficit central lié à la prise de décision [39,40]. La relation exacte entre ce déficit et les problèmes de fonctions exécutives reste cependant un sujet de débat : alors que certaines études ont mis en évidence une corré-lation entre ces deux perturbations [39], d'autres ont rapporté une perturbation des processus de prise de décision en l'absence de problèmes de flexibilité cognitive ou de mémoire de travail [34,40]. Globalement, les études neuropsychologiques montrent des déficits évidents en termes de prise de décision risquée chez les joueurs, probablement liés à un dysfonctionnement au niveau du cortex préfrontal ventromédian.…”

Towards a Better Understanding of Disordered Gambling: Efficacy of Animal Paradigms in Modelling Aspects of Gambling Behaviour

“…Indeed, human gamblers consistently demonstrate impaired performance on tasks measuring cost/benefit decision making under both risk and ambiguity, such as the Cambridge gambling task [19], game of dice task [25] and the Iowa Gambling Task (IGT) [67], deficits that cannot exclusively be accounted for by increased impulsivity or deficits in cognitive ability [67]. Amongst the laboratory tasks used to probe aberrant decision making, the IGT has been the most widely used and several rodent analogues have been developed.…”

“…Considering different gambling behaviours as potentially subject to independent expression and regulation, rather than assuming a universal 'pro-gambling' phenotype from the outset, may be more appropriate when trying to elucidate risk factors for disorders like GD in which the etiology is complex and likely multifactorial; moreover, such an approach is in-line with emerging diagnostic frameworks [15,16]. To this end, we will focus here on three cognitive domains within which gamblers exhibit dysfunction, namely in regard to increased impulsivity [17][18][19][20][21][22], disadvantageous cost/benefit decision making [23][24][25] and increased endorsement of irrational beliefs or cognitive biases pertaining to gambling [22,26,27]. Although these three areas represent a broad swathe of behaviours, each is not only subjectively but objectively quantifiable, making it possible to design appropriate paradigms for use in non-humans subjects.…”

Cerebral Amyloid Angiopathy or Frontotemporal Dementia? A Case Study

“…On a gambling task (Game of Dice Task [24]) the patient made many risky decisions. Recognition of facial emotions [25] and more complex mental arithmetics [26] were also impaired.…”