Criminologie et psychiatrie

Bénézech, Michel; Bihan, Patrick Le; Bourgeois, M

doi:10.1016/s0246-1072(02)00080-9

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“…They can falsely confess, and their credibility is also questioned as they can be suggestable. 9 Accused is also generally referred for observation at a pre-trial stage when investigations for the offence are still in progress in most cases.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

Forensic psychiatric assessment process and outcome in state patients in KwaZulu-Natal, South Africa

2018

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BackgroundIndividuals who were charged with a serious offence may be referred by courts for forensic psychiatric assessment. The court may declare them as state patients if they are found unfit to stand trial or not criminally responsible because of mental illness or defect.In forensic psychiatry practice, there may be challenges in the forensic psychiatric observation process, and discrepancies may occur between the clinician report and the court’s decision.ObjectivesTo describe elements of the forensic psychiatric observation and discuss the legal correlates associated with the admission of state patients.MethodA retrospective study of the forensic psychiatric observation records of 91 newly admitted state patients at a forensic unit in KwaZulu-Natal over a 3-year period.ResultsA total of 71 state patients (78.02%) were found not fit to stand trial and 10 patients (10.99%) were not criminally responsible. Nine patients (9.89%) were fit to stand trial and criminally responsible but still declared state patients and 13 state patients (14.29%) did not commit a serious offence. There was correlation for diagnosis between the assessing and the treating psychiatrists.ConclusionThe findings of the forensic observation were not always considered by the courts. Individuals found fit to stand trial, those found criminally responsible and those who did not commit serious crimes were declared state patients.A better understanding of legal dispositions for mentally ill offenders and an active collaboration between judicial and mental health systems may contribute in developing national guidelines for observation and admission of state patients.

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Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

Forensic psychiatric assessment process and outcome in state patients in KwaZulu-Natal, South Africa

2018

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“…Le diagnostic retenu (selon le DSM IV) est un trouble psychotique bref avec début lors du post-partum. L'infanticide est un acte qui renvoie à des causes multiples, sociales, culturelles, économiques ou psychiques bien que la faible fréquence des troubles mentaux dans l'infanticide est plutôt la règle [5,[7][8][9][10]. Certains auteurs font une distinction entre le néonaticide où les facteurs socio-économiques jouent un rôle important (niveau socio-économique bas, célibat, jeune âge, grossesse non désirée etc.)…”

Section: Discussion Diagnostiqueunclassified

“…-Les méthodes de l'infanticide sont variables : la suffocation, la strangulation, la noyade, l'exposition aux intempéries les traumatismes crâniens, les coups y compris les coups de couteaux [5] ; -La victime : certains auteurs considèrent que les garçons présentent plus de risque que les filles d'être victime d'infanticide [9] ; -Profil de la mère : le pic de prévalence des mères infanticides se situe entre 20 et 25 ans, de milieu socio culturel modeste et sans profession. Il est observé chez ces femmes une immaturité, des difficultés à communiquer, une grande solitude affective, le déni d'une grossesse souvent cachée à l'entourage et l'illégitimité de l'enfant [8].…”

Section: Aspects Descriptifs De L'infanticideunclassified

Infanticide following a postpartum psychosis

Benmebarek¹

2015

Batna J Med Sci

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L’infanticide est un crime connu depuis les temps anciens. Il suscite émoi, répulsion et incompréhension car venant souvent de la personne censée la plus soucieuse du bien-être de l’enfant. Ses causes peuvent être d’origine psychopathologiques mais les contraintes socio-économiques et culturelles jouent un rôle non négligeable d’où la grande variation de ses présentations cliniques. Nous avons choisi de présenter le cas d’une femme de 26 ans, sans suivi psychiatrique antérieur à l’acte, qui a tué son enfant âgé de trois mois en le jetant pardessus la fenêtre du troisième étage de son domicile. L’examen psychiatrique a relevé des antécédents de signes anxieux non spécifiques remontant à plusieurs années avec une décompensation psychotique trois jours avant l’acte. L’approche légale de l’infanticide tend à atténuer la responsabilité de la mère au vu des modifications psycho-physiologiques et hormonales engendrées par l’accouchement. La détection précoce des troubles mentaux durant la grossesse et du post-partum et leur traitement pourrait diminuer l’incidence de ce crime.

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“…La violence chez l'épileptique est corrélée à un certain nombre de facteurs, les uns non spécifiques : sexe masculin, âge inférieur à 40 ans, quotient intellectuel (QI) inférieur à la moyenne, bas niveau socio-économique, mauvais traitements dans l'enfance et d'autres liés à l'épilepsie : début précoce des crises, existence de lésions cérébrales, présence de multiples types de crises [13,14]. Les troubles mentaux, notamment délirants, sont également plus nombreux chez les épileptiques et peuvent expliquer la survenue de certains actes violents [14]. Parmi ces épileptiques, 8 présentaient en plus une psychose et 7 étaient ivres au moment de l'offense [18].…”

Section: Epilepsie Et Criminalitéunclassified

Epilepsy, violence and penal responsibility

Benmebarek¹

2015

Batna J Med Sci

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L’épilepsie a été associée pendant longtemps à la violence et à la criminalité mais cette notion est actuellement remise en cause, car il est admis que d’autres facteurs contextuels entrent en jeu pour expliquer ce phénomène. L’analyse de la violence chez un épileptique passe par la connaissance clinique approfondie des différents syndromes épileptiques et des circonstances de survenue du comportement agressif. L’épileptique reste pénalement responsable sauf dans des situations exceptionnelles où les crises épileptiques peuvent engendrer un comportement violent ou agressif généralement mineur et non intentionnel.

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Criminologie et psychiatrie

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Forensic psychiatric assessment process and outcome in state patients in KwaZulu-Natal, South Africa

Forensic psychiatric assessment process and outcome in state patients in KwaZulu-Natal, South Africa

Infanticide following a postpartum psychosis

Epilepsy, violence and penal responsibility

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