“…Si, chaque année, les producteurs et les négociants signent des contrats relativement précis quant au prix, aux quantités et aux qualités attendues, ils confient au courtier la charge de suivre au jour le jour l'exécution des engagements. Ce phénomène par lequel les relations interpersonnelles prennent le pas sur les clauses contractuelles est poussé à son comble dans la production de saké de terroir au Japon, dans un cas déjà évoqué plus haut (Ramseyer, 2021). Les contrats liant les producteurs de riz aux brasseries sont courts (un an renouvelable) et très peu diserts sur la qualité attendue.…”