Consanguinity studies in Wisconsin I: Secular trends in consanguineous marriage, 1843–1981

Abstract

Over 920,000 Roman Catholic marriages have taken place since the Archdiocese of Milwaukee was established in 1843. Most of these records are extant, and all have been examined to ascertain consanguineous marriages. The changing average population coefficient of consanguinity has been calculated, by year and by decade, showing a clear downward trend since the turn of the century. The data are compared with reports of consanguineous marriage incidence from around the world, and in particular with all available previous reports from the United States.

Regions of homozygosity identified by SNP microarray analysis aid in the diagnosis of autosomal recessive disease and incidentally detect parental blood relationships

“…12 Close consanguineous unions, mostly firstcousin marriages, occur in up to 60% of relationships in some parts of the world 13 but fall in the range of 0.1-1.5% in North America. [14][15][16][17] Although several laboratories perform SNP microarray, and reviews are available to describe the capability of these arrays to detect ROH, [3][4][5] literature describing patients with ROH due to parental consanguinity in a clinical setting is limited. 11,18 As more laboratories incorporate this test, it becomes increasingly important to discuss the advantages and disadvantages of the technology.…”

Étude comparative des caractéristiques démogénétiques des populations du Bas-Saguenay du Haut-Saguenay et du Lac-St-Jean

“…Le degré moyen de consanguinité peut être étudié à partir des dispenses accordées par l'Église catholique romaine; il s'agit d'une méthode indirecte relativement fiable pour estimer la consanguinité proche (Moroni, 1961). Les études antérieures font ressortir que la consanguinité proche n'est pas plus forte dans la région du Saguenay-Lac-St-Jean qu'ailleurs au Québec Lebel, 1983;Tremblay et al, 2001). …”

Épidémiologie génétique du glaucome primaire à angle ouvert :

“…Six ascendances ont une valeur F supérieure à la moyenne de la population qui est de 73xlQ 4 , ce qui équivaut à un degré de parenté du 3:4 (tableau 3). La plupart des études décrivant les populations humaines de la fin du X3X ë siècle et du début du XX e siècle obtiennent des coefficients de consanguinité moyens compris entre SxlO" 4 et O^xlQ" 4 avec des fréquences de mariages entre cousins germains allant de 0,2% à 2% (Lebel, 1983). Cependant, la taille des populations étudiées est plus élevée comparativement à l'échantillon utilisé pour la présente étude, n devient alors difficile de comparer les résultats obtenus à ceux des études réalisées avec de grandes populations.…”