‘Community’ in the sociology of religion: The case of Britain

Abstract

The author's aim is to offer some critical observations on usage of the terms 'community' and 'faith community'. The central argument is that 'community' is a weasel word that occurs frequently in discourses at the levels of everyday life, public policymaking, welfare services and social scientific analysis. The article begins by reviewing relatively uncontentious uses of 'community'. The second section of the article analyses the UK government's usage of the term 'faith community' in policy documents since 1997. And the third section explores two particularly problematic issues: on the one hand a tension that arises within official discourses about faith communities and, on the other, the UK government's practice of treating faith communities as if they were undifferentiated collectivities. The conclusion urges sociologists of religion to avoid uncritically reproducing official discourses about faith communities. RésuméLe but principal de cet article est de passer en revue l'emploi des termes « communauté » et « communauté de foi ». L'argument central est que « communauté » est un mot ambigu qui se rencontre souvent dans les discours aux niveaux de la vie quotidienne, de la politique publique, de l'assistance publique ainsi que de l'analyse social scientifique. Dans un premier temps l'article considère les usages peu controversés du terme. Ensuite il interroge l'emploi du terme « communauté de foi » dont les documents CompassBeckford: 'Community' in the sociology of religion: The case of Britain research-article2015Article Social Compass 62(2) officiels du gouvernement britannique font usage à partir de 1997. La troisième partie examine deux questions particulièrement difficiles : d'une part la tension qui se produit dans les discours officiels sur les communautés de foi, et d'autre part, la tendance du gouvernement britannique à interpeller les communautés de foi comme si elles représentaient des collectivités non différenciées. En guise de conclusion, l'article invite les sociologues des religions à éviter de reproduire naïvement les discours officiels sur les communautés de foi.

Elementos para una crítica de las políticas dirigidas a la protección de la diversidad cultural en Colombia

“…Esto hacía parte de un discurso según el cual la «raza colombiana» era «mestiza», lo cual implicaba una asimilación tanto racial como cultural de las distintas poblaciones del país. 3 Frente a esto, prominentes intelectuales como Gregorio Hernández de Alba, crítico de la realidad sociocultural europea de la época, planteó públicamente que las culturas indígenas debían ser admiradas por las poblaciones modernas (Troyan, 2007) y que algunas características indígenas deberían integrarse en la identidad colombiana (Hernández de Alba, 1944).…”

Interreligious relations and governance of religion in Europe: Introduction

“…At the same time, and beyond the normative debate, it is somewhat obvious that state actors are increasingly unable to cope with the postsecular constellation of multifaith societies and look for partners compensating for their own religious illiteracy (Griera and Forteza, 2011). To some extent, as James Beckford (2015) notices, religion is currently simultaneously perceived as a 'problem to be managed', but also as a 'resource' that may help to deal with social problems and increase social cohesion and social capital. This double condition of the religious field opens the door to an active and 'legitimate' public participation of interreligious initiatives in the governance of contemporary multifaith societies.…”

Introduction : Relations interreligieuses et gouvernance de la religion en Europe

“…En même temps, et au-delà du débat normatif, il est assez évident que les acteurs étatiques sont de plus en plus incapables de faire face à la constellation post-séculière des sociétés multiconfessionnelles et cherchent des partenaires pour compenser leur propre analphabétisme religieux (Griera et Forteza, 2011). Dans une certaine mesure, comme le souligne James Beckford (2015), la religion est actuellement perçue comme un « problème à gérer » mais aussi comme une « ressource » qui peut aider à résoudre les problèmes sociaux et accroître la cohésion sociale et le capital social. Cette double condition du champ religieux ouvre la porte à une participation publique active et « légitime » des initiatives interreligieuses dans la gouvernance des sociétés multiconfessionnelles contemporaines.…”

“…Cette double condition du champ religieux ouvre la porte à une participation publique active et « légitime » des initiatives interreligieuses dans la gouvernance des sociétés multiconfessionnelles contemporaines. En même temps, il peut encourager une utilisation purement instrumentale du « secteur interreligieux » afin de faire avancer les programmes hégémoniques sur la cohésion sociale (Beckford, 2015 ; Burchardt, 2017 ; Dinham et Lowndes, 2008).…”