“…La courbe d'apprentissage est probablement plus rapide pour les cancers de l'endomètre du fait de la fréquence de l'hystérectomie coelioscopique (procédure réalisée pour pathologie bénigne) et des curages pelviens (procédure commune aux trois types de cancers gynécologiques). Ces chiffres démontrent la difficulté de former des opérateurs entrainés au traitement coelioscopique des cancers [11,12]. Si l'on accepte la technicité chirurgicale moindre qu'exige la prise en charge coelioscopique des cancers endométriaux, on peut expliquer le fait qu'ils soient moins majoritairement adressés vers les centres de référence et ainsi moins représentés que les cancers de l'ovaire ou du col. Nous n'avons, en revanche, pas effectué de recueil des comorbidités des patientes prises en charge.…”