“…À la lumière de nos résultats, rapprocher les lieux de dons de ceux du quotidien (domicile et travail, entre autres) permettraient aux donneurs d'économiser du temps en réduisant, par exemple, leurs temps de transport, et d'ainsi réduire l'importance du manque de temps comme raisons de l'abandon du don. Deuxièmement, la dichotomie entre donneurs de milieu urbain, de banlieue ou de zones rurales, qui a été présentée à plusieurs reprises dans les travaux sur le don de sang, n'est pas présente dans cette étude (Carrier et al 2015 (Buliung & Kanaroglou, 2006;Camarero & Oliva, 2008;Florent Demoraes, Piron, Zioni, & Souchaud, 2012;Hasanzadeh et al, 2019;Lo & Houston, 2018;Perchoux et al, 2014). Nos résultats suivent plutôt une logique de proximité à des lieux significatifs du quotidien, indépendamment du contexte résidentiel.…”