ChemInform Abstract: Untersuchung von Fe90B10 und Fe83B17‐Schmelzen mittels Röntgen‐Beugung.

Nold, E.; Rainer-Harbach, G.; Lamparter, P.; Steeb, S.

doi:10.1002/chin.198324004

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“…As shown in [6] and [7], by means of dense random hard sphere packing models, the weakening of the shoulder on the second maximum of the structure factor of the melt can be explained by a smearing out of the tetrahedral atomic arrangement of the amorphous alloy. For melts up to now a similar behaviour was only observed in two cases, namely for the Fe-B-system [5] and for the Mn-Sisystem [3]. The behaviour of the Ni-B-melt is in accordance with the hypothesis already presented in [3] according to which melts showing an asymmetry or a splitting up of the second maximum of the total structure factor are glass-formers.…”

Section: Methodssupporting

confidence: 84%

“…They are plotted in Fig. 2 together with the total pair correlation functions already reported for amorphous Fe 80 B 2 o [5] and for molten Fe 83 Bi7 [5]. One recognizes that the pronounced splitting up of the second maximum of the amorphous curve is preserved in the molten curve as a strong asymmetry just in the same way as for the Fe-B-system.…”

Section: Methodsmentioning

confidence: 62%

“…molten Fe g3 B, 7 [5]. and amorphous Fe g0 B 20 [5]. The following features of the two Ni-B-curves shall be mentioned: The S AL (0-curve of the melt shows smaller amplitudes than that of the amorphous alloy.…”

Section: Methodsmentioning

confidence: 95%

“…The resolution amounted to A 26 = 0.35° at the main peak. [4], from molten Fe 83 B| 7 [5], and from amorphous Fe 80 B 20 [5]. [4], molten Ni g] B 19 .…”

Section: Methodsmentioning

confidence: 99%

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Structure of Ni-B-Melts by Means of X-Ray Diffraction

Nassif

Lamparter

Sedelmeyer

et al. 1983

Zeitschrift Für Naturforschung A

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The structural results for molten Ni 81 B 19 are compared with the structure of a metallic glass which can be obtained at the same composition by rapid quenching the melt within a melt spin equipment. Structural relationship exists between the molten and the amorphous state. This feature follows especially from a marked asymmetry of the second maximum of the structure factor obtained from the melts, to which corresponds the splitting up of the second maximum in the total structure factor of the amorphous specimen. With the Ni 53 B 47 -and the Ni 4 3B 57 -melts which don't belong to the concentration range of glass-forming Ni-B-melts no peculiarities in the range of the second maximum of the structure factor were observed.

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Section: Methodssupporting

confidence: 84%

Section: Methodsmentioning

confidence: 62%

Section: Methodsmentioning

confidence: 95%

“…The resolution amounted to A 26 = 0.35° at the main peak. [4], from molten Fe 83 B| 7 [5], and from amorphous Fe 80 B 20 [5]. [4], molten Ni g] B 19 .…”

Section: Methodsmentioning

confidence: 99%

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Structure of Ni-B-Melts by Means of X-Ray Diffraction

Nassif

Lamparter

Sedelmeyer

et al. 1983

Zeitschrift Für Naturforschung A

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“…Du point de vue expérimental, peu de résultats concernant l'ordre local icosaédrique dans les liquides métalliques ont été obtenus avant la découverte des quasicristaux et l'étude de leur liquide d'équilibre et avant la mise au point récente de dispositifs expérimentaux permettant l'étude des liquides surfondus. citons néanmoins la présence d'un épaulement observé sur la droite de la seconde oscillation du facteur de structure d'alliages liquides de composition voisine de celle des amorphes métal-métalloïde FegoBo [24,34] et métallique MgZng [23].…”

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La structure des liquides simples et des alliages liquides métalliques

Simonet

Bellissent

2003

J. Phys. IV France

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Résumé : De par le caractère isotrope des interactions et leur courte portée, les liquides métalliques ont longtemps été considérés comme des systèmes modèles pouvant être décrits par un arrangement aléatoire de sphères dures. Ceci a été confirmé par l'allure des premières fonctions de distribution de paires déterminées par diffusion de RX ou de neutrons à la précision près des expériences de l'époque. Néanmoins, cette image a tout d'abord été révisée pour le cas des alliages métalliques dont les fonctions de distribution de paires ont révélé un ordre local plus complexe à cause des affinités chimiques entre espèces différentes. Grâce à la possibilité actuelle de mesurer des facteurs de structure de bien meilleure qualité, la question de la nature de l'ordre local et du degré d'isotropie des interactions peut se poser même dans le cas des liquides simples ou dans le cas d'alliages présentant à priori peu d'ordre chimique. Dans ce cadre, l'ordre local icosaédrique est particulièrement intéressant puisque l'icosaèdre est un agrégat très compact et, bien que présentant des liaisons directionnelles, très proche d'une configuration isotrope. La mise en évidence de ce type d'ordre local est présentée pour deux types de liquides : les liquides surfondus dans lesquels un ordre local icosaédrique a été prédit pour expliquer les propriétés de surfusion, et les liquides en équilibre avec des quasicristaux qui présentent un ordre local icosaédrique. 1Introduction aux liquides métalliques 1 Liquides monoatomiquesLes éléments métalliques dans l'état liquide représentent une part importante du tableau périodique des éléments (cf. Fig. 1). Ils sont caractérisés par la coexistence d'électrons de conduction délocalisés et d'un arrangement dynamique d'ions positifs et présentent une bonne conductivité thermique et électrique. Ils sont notablement différents des liquides moléculaires ou semiconducteurs (caractérisés par des liaisons de nature covalente) de par leur plus grande compacité (nombre de coordination entre 9 et 12) et le caractère isotrope des interactions atomiques en première approximation. Notons que certains éléments, tels que le Ge ou le Te, subissent une transition semi-conducteur/métal dans l'état liquide.Le problème de la détermination de la structure de l'état liquide est difficile car c'est un problème à N particules en interaction. Dans le cas de l'état cristallin, cette difficulté est surmontée par la périodicité de translation de l'édifice atomique qui détermine les positions atomiques à partir d'un nombre réduit de paramètres. Dans le cas du gaz, l'absence d'interaction entre des atomes ponctuels situés à de grandes distances permet un traitement de physique statistique. Le liquide peut sembler proche de l'état solide car il a une densité comparable dans des conditions voisines de température et de pression. En outre, sa chaleur latente de fusion est plus petite que la chaleur latente de vaporisation, ce qui implique que les deux états, solide et liquide, ont des propriétés de liaison voisines. D'un autre cô...

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Partial Atomic Distribution Functions of Liquid Fe₇₅B₂₅

Mattern

Matz

Hermann

1988

Zeitschrift Für Naturforschung A

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Partial structure factors and atomic distribution functions for liquid Fe75 B25 were determined for the Fe-Fe and Fe-B pairs by means of X-ray and neutron diffraction. The experimental results show a strong chemical short-range order in the melt which is similar to that of amorphous Fe75 B25.Key words: liquid Fe-B -X-ray, neutron diffraction on liquid Fe-B -partial structure factors of liquid Fe-B -partial atomic distribution functions of liquid Fe-B -short-range order in liquid Fe-B. P a r t i a l A to m ic D is tr ib u tio n F u n c tio n s o f L iq u id F e 75 B 25

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ChemInform Abstract: Untersuchung von Fe₉₀B₁₀ und Fe₈₃B₁₇‐Schmelzen mittels Röntgen‐Beugung.

Abstract: Mit dem Ziel, Hinweise auf den Grad der Ähnlichkeit zwischen dem geschmolzenen und dem amorphen Zustand zu gewinnen.

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Structure of Ni-B-Melts by Means of X-Ray Diffraction

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La structure des liquides simples et des alliages liquides métalliques

Partial Atomic Distribution Functions of Liquid Fe₇₅B₂₅

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Partial Atomic Distribution Functions of Liquid Fe75B25

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