2013
DOI: 10.11606/issn.2316-901x.v0i57p139-160
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Carne para alimento de rádios e discos o conceito de música popularesca na obra musicológica de Mário de Andrade

Abstract: In this paper I analyzed the use of the expression "música popularesca" over the musicological work of Mário de Andrade (1892-1945). Apparently, Mário de Andrade used it to describe a type of repertoire somewhere between folk music and classical music. After the consolidation of the urban popular music, Mário de Andrade used "música popularesca" to denominate this new kind of music, which was similar-but not identical-to folk music. This expression had no pejorative connotation, unlike the word "sub música" us… Show more

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“…"Profitant de la marée, les directeurs artistiques de nos maisons de disques pourraient aussi organiser des albums d'Ari Barroso, Lamartine Babo et Orestes Barbosa qui ont conquis une grande faveur parmi les adeptes des productions de ces champions de nos rythmes" (Braga Filho, rubrique "Microfone Aberto", in Última Hora, 5/02/1952). Une autre rubrique du même jour fait également l'éloge, sur ce thème des compilations, de la maison de disques Continental, toujours "(…) pionnière de grandes réalisations" ("Bazar do disco" in Última Hora, 05/02/1952 GONZALEZ, 2013). Utilisant sans discrimination dans ses écrits les catégories musicales "folklorique" et "populaire", il distinguait cependant l'idée d'une musique "popularesca" (néologisme qui sonne comme "populacier" ou "populeux") associée à certaines pratiques musicales urbaines d'"écoute facile", incluant bonne partie du disque et de la radio.…”
unclassified
“…"Profitant de la marée, les directeurs artistiques de nos maisons de disques pourraient aussi organiser des albums d'Ari Barroso, Lamartine Babo et Orestes Barbosa qui ont conquis une grande faveur parmi les adeptes des productions de ces champions de nos rythmes" (Braga Filho, rubrique "Microfone Aberto", in Última Hora, 5/02/1952). Une autre rubrique du même jour fait également l'éloge, sur ce thème des compilations, de la maison de disques Continental, toujours "(…) pionnière de grandes réalisations" ("Bazar do disco" in Última Hora, 05/02/1952 GONZALEZ, 2013). Utilisant sans discrimination dans ses écrits les catégories musicales "folklorique" et "populaire", il distinguait cependant l'idée d'une musique "popularesca" (néologisme qui sonne comme "populacier" ou "populeux") associée à certaines pratiques musicales urbaines d'"écoute facile", incluant bonne partie du disque et de la radio.…”
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