“…Les alditols peuvent être formés soit par la réduction des hexoses phosphates (Bieleski et Redgwell, 1977 ;Redgwell et Bieleski, 1978), soit par réduction des hexoses (Bliss, 1972 ;Bieleski, 1982 (Bieleski, 1982), et du sorbitol chez les Rosaceae (Bieleski, 1977). En effet, le sorbitol peut être synthétisé par les feuilles à partir d'hexoses exogènes, par exemple à partir du glucose chez le prunier (Anderson et al, 1962), le pommier (Hutchinson et al, 1959, cités par Whetter et Taper, 1963 et le poirier (Bieleski, 1977) (Bieleski, 1982 Les enzymes de synthèse L'analyse enzymatique (Yamaki, 1980a ;Hirai, 1981 ;Negm et Loescher, 1981), les études sur les relations source-puits (Loescher et al, 1982 ;Merlo et Passera, 1991), ainsi que les études au moyen d'un marquage radioactif (Grant et ap Rees, 1981 ;Bieleski et Redgwell, 1985), ont établi que la synthèse du sorbitol est confinée principalement aux feuilles sources, alors que l'utilisation métabolique est limitée aux tissus puits.…”