Biobehavioral approaches to cancer progression and survival: Mechanisms and interventions.

Abstract

Over the last decade, there have been groundbreaking strides in our understanding of the multiple biological pathways by which psychosocial and behavioral factors can affect cancer progression. It is now clear that biobehavioral factors not only affect cellular immunity but both directly and indirectly modulate fundamental processes in cancer growth, including inflammation, angiogenesis, invasion, and metastasis. There is also an emerging understanding of how psychological and behavioral factors used in interventions can impact these physiological processes. This review outlines our current understanding of the physiological mechanisms by which psychological, social, and behavioral processes can affect cancer progression. The intervention literature is discussed, along with recommendations for future research to move the field of biobehavioral oncology forward.

Depression in cancer: The many biobehavioral pathways driving tumor progression

“…While the average rate of MDD is 3.3% in the general population, the prevalence of MDD among individuals with cancer is approximately 12.5%, which is up to four-times the rate reported in population-based samples 1 . Evidence indicates that co-morbid depression may be associated with a worse prognosis and increased mortality rate in cancer populations 2 .…”

Development of oncosexuality and oncofertility in France: Why now? Cultural and psychosociological aspects

“…La prise en charge d'effets indésira-bles (sexuels ou non) et de séquelles physiques, psychiques et/ou fonctionnelles (esthétiques, incontinences, stomie, modification du poids…) est devenue un marqueur pertinent d'une démarche qualité des soins [2,4,5,24]. À l'évidence, elle entraîne un mieux-être qui favorise à la fois la vie intime/ sexuelle et les capacités d'adaptation et de résistance au cancer du patient et du couple [6,7,23] ! Par ailleurs, les soins de support sont en train d'acquérir une tout autre dimension [4,5,24].…”

“…Par ailleurs, les soins de support sont en train d'acquérir une tout autre dimension [4,5,24]. Jusqu'à récemment, leur objectif prioritaire était d'améliorer la prise en charge des effets secondaires (liés au cancer/traitement) et la qualité de vie des malades et des soignants [4,23,24]. Avancée oncologique majeure, leur mise en place précoce permettrait de vivre mieux et plus longtemps… en cas de cancer pulmonaire métastatique [25], d'où la tendance croissante de les introduire dès la phase d'annonce plutôt qu'à la phase palliative [24].…”

“…Avancée oncologique majeure, leur mise en place précoce permettrait de vivre mieux et plus longtemps… en cas de cancer pulmonaire métastatique [25], d'où la tendance croissante de les introduire dès la phase d'annonce plutôt qu'à la phase palliative [24]. Ce bénéfice inattendu peut s'expliquer par une prise en charge optimalisée (correction des effets indésirables, amélioration de l'hygiène de vie et de la santé physique et mentale, réduc-tion des difficultés psychosociales) qui favorise l'observance/l'adhésion aux traitements carcinologiques, le soutien affectif et psychosocial, la santé mentale positive et probablement, la réponse immunitaire [23]. Quelle qu'en soit l'origine, ce progrès ouvre une nouvelle voie thérapeutique en s'intéressant aussi au malade (la « proie ») et non exclusivement, à la tumeur (le « prédateur ») [23].…”

“…Ce bénéfice inattendu peut s'expliquer par une prise en charge optimalisée (correction des effets indésirables, amélioration de l'hygiène de vie et de la santé physique et mentale, réduc-tion des difficultés psychosociales) qui favorise l'observance/l'adhésion aux traitements carcinologiques, le soutien affectif et psychosocial, la santé mentale positive et probablement, la réponse immunitaire [23]. Quelle qu'en soit l'origine, ce progrès ouvre une nouvelle voie thérapeutique en s'intéressant aussi au malade (la « proie ») et non exclusivement, à la tumeur (le « prédateur ») [23]. La médecine de la personne et la médecine de précision ne sont pas en opposition mais, au contraire, en synergie puisque les deux traitent le cancer !…”