“…Hormis le fait que ce type de construction a déjà fait l'objet d'autres descriptions sur ce même corpus (Bosredon et Tamba, 2003) comme sur d'autres (Noailly, 2002 ;Combettes, 2007a et b), nous avons considéré que l'appellation même de « phrases averbales » pouvait leur être contestée d'emblée en raison de divers marqueurs de « dépendance », au sens large (préposition ou conjonction dans les exemples ci-dessus), qui les introduisent. Leur lien par rapport au contexte gauche ainsi explicité, ces phrases graphiques forment alors sans aucun doute une « suite » qui se greffe a posteriori à la structure grammaticale qui les précède.…”