2018
DOI: 10.1080/13629395.2018.1543038
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Authoritarian resilience and democratic representation in Morocco: Royal interference and political parties’ leaderships since the 2016 elections

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
2
1
1

Citation Types

0
4
0
2

Year Published

2019
2019
2023
2023

Publication Types

Select...
8
1

Relationship

1
8

Authors

Journals

citations
Cited by 17 publications
(6 citation statements)
references
References 2 publications
0
4
0
2
Order By: Relevance
“…Les élections législatives du 8 septembre 2021 ont été marquées, d'une part, par la défaite du Parti (islamiste) justice et développement, au gouvernement depuis 2011 (López García & Kirhlani, 2021), et, d'autre part, la formation d'une majorité parlementaire composée de trois partis seulement : le Rassemblement national des indépendants (RNI), le Parti authenticité et modernité (PAM) et l'Istiqlal. Ces trois formations ont une particularité commune : le secrétaire général du premier (Aziz Akhannouch) et du troisième (Nizar Baraka), et le fondateur du second (Fouad Ali El Himma), sont considérés comme des « proches du palais » (Desrues, 2020). De plus, c'est l'une des rares fois qu'un gouvernement est soutenu par une majorité plus ou moins ramassée (trois partis seulement) et plus ou moins cohérente idéologiquement puisque ses composantes tiennent des discours et se réclament de tendances politiques et économiques assez proches, voire quasiment similaires.…”
Section: Discussionunclassified
“…Les élections législatives du 8 septembre 2021 ont été marquées, d'une part, par la défaite du Parti (islamiste) justice et développement, au gouvernement depuis 2011 (López García & Kirhlani, 2021), et, d'autre part, la formation d'une majorité parlementaire composée de trois partis seulement : le Rassemblement national des indépendants (RNI), le Parti authenticité et modernité (PAM) et l'Istiqlal. Ces trois formations ont une particularité commune : le secrétaire général du premier (Aziz Akhannouch) et du troisième (Nizar Baraka), et le fondateur du second (Fouad Ali El Himma), sont considérés comme des « proches du palais » (Desrues, 2020). De plus, c'est l'une des rares fois qu'un gouvernement est soutenu par une majorité plus ou moins ramassée (trois partis seulement) et plus ou moins cohérente idéologiquement puisque ses composantes tiennent des discours et se réclament de tendances politiques et économiques assez proches, voire quasiment similaires.…”
Section: Discussionunclassified
“…When the failure to bring about 'either the breakdown of authoritarian regimes or transition to some form of post-authoritarian governance' (Heydemann, 2016) became clearly apparent, researchers more vocally explored the impact of the closing of democratic horizons on Islamist politics in terms of the repression-radicalization hypothesis 1 (Lynch & Schwedler, 2020). This was in contrast with the early post-uprising scholarship on Islamist politics focusing on the role of Islamist actors in political transitions and in authoritarian survival (Desrues, 2020;Lynch & Schwedler, 2020;Maghraoui, 2020).…”
Section: Islamist Politics In Context: What Is the Missing Piece?mentioning
confidence: 99%
“…S4), in part because most political parties are relatively young and not well institutionalized. Morocco’s legal framework allows for competitive legislative elections, but the transparency of the process is not guaranteed, and the King’s Palace continues to exert out-sized influence in the electoral process ( 18 ). Nonetheless, elections in Morocco are consequential for policy ( 19 ).…”
Section: Introductionmentioning
confidence: 99%