Australia's Better Access Initiative: An Evaluation

Pirkis, Jane; Ftanou, Maria; Williamson, Michelle; Machlin, Anna; Spittal, Matthew J; Bassilios, Bridget; Harris, Meredith

doi:10.3109/00048674.2011.594948

Cited by 65 publications

(74 citation statements)

References 13 publications

Supporting

Mentioning

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…The last 7 years have seen a massive uptake of the Better Access scheme with virtually all the increase in Medicare Benefits Schedule (MBS)-subsidised mental health services being due to this program and being paid to psychologists (Australian Institute of Health and Welfare, 2012a). While this is potentially addressing a gap in our health system, allowing people with depression and anxiety to access adequate treatment, it is unclear whether the changes to Medicare that have brought about this redirection of funds are having the desired effect on the overall burden of illness or the standard of care received (Hickie et al, , 2012Pirkis et al, 2011aPirkis et al, , 2011b.…”

Section: Editorialmentioning

confidence: 99%

Why do we not use psychosocial interventions in the treatment of schizophrenia?

Harris

Boyce

2013

Aust N Z J Psychiatry

View full text Add to dashboard Cite

Section: Editorialmentioning

confidence: 99%

Why do we not use psychosocial interventions in the treatment of schizophrenia?

Harris

Boyce

2013

Aust N Z J Psychiatry

View full text Add to dashboard Cite

“…Environ 90 % des utilisateurs ont bénéficié d'une TCC. Les utilisateurs ont présenté des améliorations statistiquement significatives pour le K-10 (Kessler 10 ; détresse psychologique) et les scores DASS (dépression, anxiété et stress) entre le pré -et le posttraitement (Pirkis, Ftanou, Williamson, et al, 2011). Il faut cependant noter l'absence des groupes témoins pour évaluer l'effet des programmes sur les symptômes évalués avec le DASS-21 et le K-10.…”

Section: Les Programmes Australiens : Ataps Et Better Accessunclassified

Les programmes de prise en charge financière des psychothérapies en Australie et en Angleterre

Vasiliadis

Dezetter

2016

smq

View full text Add to dashboard Cite

L’article décrit les programmes de prise en charge financière des psychothérapies en Australie et en Angleterre. Au début des années 2000, le gouvernement australien a implanté une réforme de santé publique visant à permettre un meilleur accès, gratuit ou peu coûteux, aux psychothérapies brèves, en soin primaire, pour les personnes souffrant de troubles mentaux courants. Cette réforme reconnaît l’importance du rôle du médecin généraliste dans la prise en charge des troubles, et la collaboration avec les professionnels de santé mentale. Deux programmes ont été mis en oeuvre : Access to Allied Psychological Services en 2003 et Better Access en 2006. En 2009, deux millions d’Australiens ont reçu onze millions de séances de psychothérapies. Les études ont montré des résultats positifs sur l’amélioration de l’accès aux soins de santé mentale primaires et sur la santé des patients. L’Angleterre a mis en place le programme Improving Access to psychological Therapies en 2007 en offrant un service de psychothérapies brèves pour les personnes souffrant de troubles mentaux courants. Le modèle de soin en étape suit les guides cliniques du National Institute for Health and Clinical Excellence, le type de professionnel (counselor ou psychothérapeute formés), le nombre de séances (4 à 13) et la méthode thérapeutique varient selon la sévérité du trouble. Un million de patients ont été traités depuis le début du programme. Les études ont aussi montré des résultats de santé positifs pour les patients du programme. En conclusion les programmes de prise en charge des psychothérapies s’avèrent coûts-efficaces.

show abstract

“…There was criticism of the scheme on a number of grounds, including the cost blow-out, inequity of access and its use by people with milder problems (Jorm, 2011). An evaluation commissioned by the Australian Government was largely favourable, concluding that the Better Access scheme was meeting previously unmet need in people with common mental disorders and producing improvements in symptoms (Pirkis et al, 2011a). However, this evaluation was criticized on methodological grounds (e.g.…”

Section: Better Accessmentioning

confidence: 99%