“…Ainsi, la marque épigénétique devient identifiable par séquençage. D'autres méthodes existent, notamment par immuno-précipitation (à l'aide d'anticorps spécifiquement dirigés contre la forme méthylée des cytosines) ou digestion par des enzymes sensibles ou non à la méthylation de l'ADN, chacune ayant ses caractéristiques propres en termes de précision du signal, couverture des régions génomiques analysées, coût et durée d'analyse (David et al, 2017, Mersch et al, 2018. Il est plus laborieux de définir la position d'une MPTH car la modification est portée par l'histone et non par l'ADN.…”