“…Pour les phrases interrogatives, nous ne citons que deux exemples, qui montrent, à notre avis, la manière dont le traducteur agit sur le texte de départ. Les vers 173-76 de l'Aminte présentent une série de questions qui devraient être présentes dans les premières éditions mais absentes des premiers manuscrits: 28 Il est improbable que Pierre de Brach ait eu accès aux manuscrits du Tasse et donc nous pouvons conclure que la suppression syntaxique de la forme interrogative est déterminée par un choix personnel et poétique. Contrairement à l'exemple précédent, dans certains cas le texte français présente une phrase interrogative là où le texte italien n'en avait pas.…”