A Regression Model Explaining Predisposition to Collaborate

Abstract

Using a sample of 645 nonprofit organizations in Canada, the authors construct and validate a regression model to explain predisposition to collaborate. Organizational factors such as size and type (feminist or not) were found to be related to the extent of formal collaborative activity. However, the strength of these factors as predictors of behavior was amplified or reduced by the intervening perception of the impact of environmental changes. In addition, the perception of these pressures was shown to intensify the motivation to collaborate, which in turn increases the probability of engaging in formal interorganizational activity. This study contributes to the body of knowledge about collaboration because previous research has not investigated the influence of a combination of factors on collaborative behavior.

Portrait et dynamique des organismes desservant les personnes itinérantes ou à risque d’itinérance dans la région de Montréal

“…Cela est particulièrement vrai pour les OIRI pour personnes démunies et ceux en alcoolisme/toxicomanie et autres dépendances, qui sont les ressources les moins nanties. o 1 Selon la littérature, les plus petits organismes ont moins tendance à s'engager dans des relations formalisées (Foster et Meinhard, 2002 ;Grenier et Fleury, 2009). Par ailleurs, les OIRI ont davantage tendance à formaliser leurs relations avec le réseau intersectoriel qu'avec le RSSS.…”

“…Les organismes offrant le plus de services sont plus attrayants pour des partenaires éventuels et ont donc davantage d'opportunités d'entretenir des relations avec d'autres organisations (Foster et Meinhard, 2002). L'association entre le degré de collaboration interorganisationnelle et l'appréciation des relations avec les organisations du RSSS est également cohérente.…”

“…Les caractéristiques des organismes desservant les personnes itinérantes ou à risque d'itinérance (OIRI), celles de la clientèle qu'ils desservent ainsi que leur appréciation de l'accessibilité aux services demeurent en grande partie méconnues. Par ailleurs, plusieurs études internationales se sont intéressées aux déterminants de la collaboration interorganisationnelle, principalement chez les organismes sans but lucratif (OSBL ; Foster et Meinhard, 2002 ;Guo et Acard, 2005 ;Sowa, 2009 ;Fleury et al, 2012). Selon les auteurs, la collaboration interorganisationnelle serait associée à des facteurs tels l'historique de la collaboration, le besoin de s'adapter aux changements (Sowa, 2009 ;Powell, 1990), celui de sécuriser ses ressources dans un contexte de rareté (Provan et al, 1996 ;Zuckerman et D'Aunno, 1990) ou d'obtenir une légitimité (Gray et Wood, 1991 ;Provan et Milward, 1991).…”

The Current State of Interorganizational Collaboration: Lessons for Human Service Research and Management

“…At the human level, as noted, certain traits and experiences (collaborative and other) motivate decision makers to pursue interorganizational partnerships or, occasionally, to avoid them when a past experience was unsuccessful (Foster & Meinhard, 2002;Gazley & Brudney, 2007). At the partnership level, political theories suggest that ideology can motivate or demotivate public officials to collaborate with nonprofits.…”

How Do Partnerships Lead to a Competitive Advantage? Applying the Resource Based View to Nascent Social Ventures

“…Most studies that do apply theory in this context use resource dependency (Pfeffer & Salancik, 1978) or transaction cost theory (Williamson, 1985) to better understand nonprofit ventures (Arsenault, 1998;Foster & Meinhard, 2002;Gray, 1989;Guo & Acar, 2005;Provan & Milward, 1995). Resource dependency proposes that partnerships provide a means to manage external dependencies and uncertainties in their resource environment, whereas transaction cost theory focuses on partnerships as a means to reduce transaction costs (Hennart, 1988;Williamson, 1991) and maximize economic or psychological benefits (Foster & Meinhard, 2002;Sharfman, Gray, & Yan, 1991).…”