A randomized trial using ultrasound to identify the High-Risk fetus in a Low-Risk population

Abstract

Introduction of an ultrasound scan at 30-32 weeks' and 36-37 weeks' gestation may reduce the risk of a growth-restricted infant and increases antenatal interventions. Rates of admission to a neonatal unit are not significantly affected.

Inadequate identification of small‐for‐gestational‐age fetuses at an urban teaching hospital

“…In conclusion, since 90% of SGA neonates are undetected at birth, a change [19,20] in obstetric practice is warranted to improve the detection of one of the most common and complex problems in [18], we recommend routine ultrasound examination in the third trimester to decrease the rate of SGA. Lastly, based on the review of the literature on the accuracy of ultrasound estimation of fetal weight, whenever feasible the ultrasound examination should be performed by an RDMS [16].…”

Fetal growth

“…Recently, a randomised trial showed that introduction of an ultrasound scan at 30-32 and 36-37 weeks gestation may reduce the risk of a growth-restricted infant and increases antenatal interventions. Rates of admission to a neonatal unit were not significantly affected [28]. If serial ultrasound biometry is used to detect growth disturbances in at-risk pregnancies, ultrasound error and examinations performed too frequently (especially when the interval between the scan is less than 2 weeks) may increase the false-positive rate for fetal growth restriction [18].…”

Pour une échographie du troisième trimestre précoce : reculer n’est pas mieux sauter !

“…Par ailleurs, à ce retard d'information et de prise en charge s'ajoute le risque théorique d'accouchement prématuré qui est augmenté en cas de malformations [4]. Une étude récente rapporte qu'un singleton porteur d'une malformation est de manière globale 2,7 fois plus à risque d'accoucher avant 37 semaines d'aménorrhée (IC 95 % : 2,3-3,2) et sept fois plus à risque d'accoucher avant 34 semaines d'aménorrhée (IC 95 % : 5,[5][6][7][8]9) [4].…”

“…Chauhan et Magann rapportent dans leur revue de la littérature récente que les sensibilités et spécificités de l'échographie varient de 0 à 100 % et de 66 à 99 % respectivement, avec des valeurs prédictives positives comprises entre 17 et 78 % [7], sans préciser à quel(s) moment(s) de la grossesse ont été réalisés les échographies. Une seule étude randomisée (examen clinique versus examen clinique et échographie systématique) met en évidence que la réalisation d'échographies successives à 30 à 32 et 36 à 37 semaines d'aménorrhée permet de réduire significativement le taux de foetus hypotrophes à la naissance dans une population à bas risque, 6,9 % (69/994) versus 10,4 % (104/999 ; p = 0,008) [8]. Le groupe de patientes surveillées par échographie systématique est associé à un taux plus élevé de déclenchement du travail pour suspicion d'altération du bien être foetal, 4,7 % (47/999) versus 1,8 % (18/999 ; p < 0,01), sans qu'il y ait pour autant de différence significative en terme de nombre d'extractions instrumentales, césariennes, scores d'Apgar à une et cinq minutes, et réanimations en salle de travail [8].…”

“…Une seule étude randomisée (examen clinique versus examen clinique et échographie systématique) met en évidence que la réalisation d'échographies successives à 30 à 32 et 36 à 37 semaines d'aménorrhée permet de réduire significativement le taux de foetus hypotrophes à la naissance dans une population à bas risque, 6,9 % (69/994) versus 10,4 % (104/999 ; p = 0,008) [8]. Le groupe de patientes surveillées par échographie systématique est associé à un taux plus élevé de déclenchement du travail pour suspicion d'altération du bien être foetal, 4,7 % (47/999) versus 1,8 % (18/999 ; p < 0,01), sans qu'il y ait pour autant de différence significative en terme de nombre d'extractions instrumentales, césariennes, scores d'Apgar à une et cinq minutes, et réanimations en salle de travail [8]. Les auteurs n'ont malheureusement pas séparé le groupe de patientes surveillées par échographie par dates de réalisation de l'examen.…”