Namibia's transition from whole blood–derived pooled platelets to single‐donor apheresis platelet collections

Abstract

BACKGROUND Few African countries separate blood donations into components; however, demand for platelets (PLTs) is increasing as regional capacity to treat causes of thrombocytopenia, including chemotherapy, increases. Namibia introduced single-donor apheresis PLT collections in 2007 to increase PLT availability while reducing exposure to multiple donors via pooling. This study describes the impact this transition had on PLT availability and safety in Namibia. STUDY DESIGN AND METHODS Annual national blood collections and PLT units issued data were extracted from a database maintained by the Blood Transfusion Service of Namibia (NAMBTS). Production costs and unit prices were analyzed. RESULTS In 2006, NAMBTS issued 771 single and pooled PLT doses from 3054 whole blood (WB) donations (drawn from 18,422 WB donations). In 2007, NAMBTS issued 486 single and pooled PLT doses from 1477 WB donations (drawn from 18,309 WB donations) and 131 single-donor PLT doses. By 2011, NAMBTS issued 837 single-donor PLT doses per year, 99.1% of all PLT units. Of 5761 WB donations from which PLTs were made in 2006 to 2011, a total of 20 (0.35%) were from donors with confirmed test results for human immunodeficiency virus or other transfusion-transmissible infections (TTIs). Of 2315 single-donor apheresis donations between 2007 and 2011, none of the 663 donors had a confirmed positive result for any pathogen. As apheresis replaced WB-derived PLTs, apheresis production costs dropped by a mean of 8.2% per year, while pooled PLT costs increased by an annual mean of 21.5%. Unit prices paid for apheresis- and WB-derived PLTs increased by 9 and 7.4% per year on average, respectively. CONCLUSION Namibia’s PLT transition shows that collections from repeat apheresis donors can reduce TTI risk and production costs.

Prélèvement de plaquettes pour la chirurgie cardiaque: première expérience d'aphérèse à l'Hôpital Général de Douala

“…L’intérêt de ce cas est qu’il est le premier à rapporter l’utilisation de la technique d’aphérèse pour le prélèvement de plaquettes en Afrique Centrale. En effet, alors que cette technique est répandue dans les pays industrialisés depuis les années 1970, seuls très peu de pays d’ASS l’ont introduite dans leur politique transfusionnelle [ 9 , 10 ]. Cette partie de l’Afrique doit faire face à une haute prévalence de VIH et d’autres micro-organismes transmissibles par la transfusion [ 3 - 6 ].…”

“…Ce constat est alarmant car bien que le risque de contracter, à la suite d’une transfusion d’un concentré de globule rouge ou de plaquettes, une infection due à un micro-organisme soit devenu exceptionnel dans les pays développés [ 7 , 8 ], il reste un problème de santé publique en Afrique Subsaharienne (ASS) [ 3 - 6 ]. Pour faire face à cette situation certains pays d’ASS comme la Namibie ont développé des techniques alternatives permettant la limitation du nombre de donneurs [ 9 ]. La technique « buffy coat » précédemment utilisée pour l’obtention des plaquettes à partir de plusieurs donneurs a été abandonnée pour l’aphérèse qui ne nécessite qu’un donneur unique [ 9 , 10 ].…”

“…Pour faire face à cette situation certains pays d’ASS comme la Namibie ont développé des techniques alternatives permettant la limitation du nombre de donneurs [ 9 ]. La technique « buffy coat » précédemment utilisée pour l’obtention des plaquettes à partir de plusieurs donneurs a été abandonnée pour l’aphérèse qui ne nécessite qu’un donneur unique [ 9 , 10 ]. Le succès de l’implantation de cette technique dans les pays comme la Namibie et le Rwanda, l’augmentation de la demande en composés sanguins grâce au développement de la chirurgie cardiaque et de l’onco-hématologie dans notre institution ont décidé les autorités de l’hôpital à saisir l’opportunité qu’offrait le service du sang de la Croix Rouge de Belgique pour l’acquisition de cette technologie.…”

Implications of a switch to a 100% apheresis platelet supply for patients and for blood donors: a risk benefit analysis

“…Of note, transfusion‐transmissible pathogens may differently affect apheresis and whole‐blood donors in other regions of the world. For example, no statistical difference between repeat whole blood and apheresis donors was reported for the United States and studies in China and Namibia suggest lower infection rates for known transfusion‐transmissible viruses in repeat apheresis donors compared with whole‐blood donors. Therefore, infection rates for transfusion‐transmissible pathogens among whole blood and apheresis donors should be monitored in each region to judge on the safety of APCs and PPCs.…”

Le plasma convalescent COVID-19 est-il une option pour l'Afrique?

“…contraintes de laboratoire et opérationnelles, la majorité des transfusions sanguines sont collectées sous forme de sang total et peu de pays ont la capacité de séparer les unités de sang collectées en composants comme le plasma, les plaquettes ou les cellules sanguines. 7 Cela peut entraver la capacité des pays africains à participer aux essais de PCC.…”